Une dentelle s’abolit Dans le doute du Jeu suprême À n’entr’ouvrir comme un blasphème Qu’absence éternelle de lit. Cet unanime blanc conflit
Pluviôse, irrité contre la ville e… De son urne à grands flots verse u… Aux pâles habitants du voisin cime… Et la mortalité sur les faubourgs… Mon chat sur le carreau cherchant…
Au retour des beaux jours, dans ce… Où meurent les Danton trahis par… Quand l’étable s’agite au fond des… Quand l’eau vive au soleil se chan… Quand la grisette assise, une aigu…
Eveilleur, arracheur, Souffle souffert, souffle accoureu… Maître des trois chemins, tu as en… Depuis Elam.
C’était le sept août. Ô sombre des… C’était le premier jour de leur de… Seuls dans un lieu royal, côte à c… Deux hommes, par endroits du coude… Causaient. Grand souvenir qui dan…
Les fleurs les jardins les jets d’… Et la douceur de vivre Un homme est là par terre et baign… Les souvenirs les fleurs les jets… Les rêves enfantins
Ceux qui disent : Cré Nom, ceux q… Soldats, marins, débris d’Empire,… Sont nuls, très nuls, devant les… Qui tailladent l’azur frontière à… Pipe aux dents, lame en main, prof…
Surgi de la croupe et du bond D’une verrerie éphémère Sans fleurir la veillée amère Le col ignoré s’interrompt. Je crois bien que deux bouches n’o…
Vulnerant omnes, ultima necat. La voiture fit halte à l’église d’… Nom rauque, dont le son à la rime… Mais qui n’en est pas moins un vil… Sur un sol montueux perché bizarre…
es mots sur des feuilles . C est un article sur le journal S… L inflation rogne notre pouvoir d… Le veau train vient d arriver au b… Le scénario d Attal .. risque bie…
Pour faire une étoile à cinq branc… Ou à six ou davantage Il faut d’abord faire un rond Pour faire une étoile à cinq branc… Un rond !
Dans les chambres secrètes de mon… Un vent doux remue la poussière de… La beauté du lys blanc est un rapp… Un murmure qui résonne dans mon âm… Ses pétales, comme le duvet d’un n…
Vous vous êtes penché sur ma mélan… Non comme un indiscret, non comme… Et vous avez surpris la clef de ma… Tel un consolateur attentif et pie… Et vous avez ouvert doucement ma s…
Brûle aux yeux des femmes, Mais garde ton coeur Et crains la langueur Des épithalames. Bois pour oublier !
Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il f… Mon flanc percé, mon cœur qui rayo… Et mes pieds offensés que Madelei… De larmes, et mes bras douloureux… De tes péchés, et mes mains ! Et…
Le champ Poésies .. c est les qua… Du moulin de Fresles .. c est le… C est le registre bleu .. sur le c… C est des nuances roses .. les cin… Des fragments pour traverser les a…
On croit que c’est facile de ne ri… Ah ! du matin au soir je ne faisais rien rien
Les derniers Essais, je viens éta… C’est le poids de mes aïeux . Les quarante années de travaux . C’est la noblesse du tourangeau . Je légue en héritage .
En ce temps-là, du ciel les portes… Du Saint des Saints ému les feux… Tous les cieux un moment brillèren… Et les élus voyaient, lumineuses p… Venir une jeune âme entre de jeune…
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
À la pâle clarté des lampes langui… Sur de profonds coussins tout impr… Hippolyte rêvait aux caresses puis… Qui levaient le rideau de sa jeune… Elle cherchait, d’un oeil troublé…
L’objet est illustre Dans ce temps caduc. Le duc sonne un rustre, Le roi sonne un duc. Siècle étrange ! il taille,
Pendant que la mer gronde et que l… Et que sur l’horizon les tumultes… Ce veilleur, le poète, est monté s… Ce qu’il veut, c’est qu’enfin la c… Jadis, dans les temps noirs comme…
Vois, cette branche est rude, elle… Verse la pluie à flots sur son éco… Mais attends que l’hiver s’en aill… Une feuille percer ces noeuds si d… Et tu demanderas comment un bourge…
Les paupières des fleurs, de larme… Ces visages brumeux qui, le soir,… Dessinent les vapeurs qui vont se… Ces profils dont l’ébauche apparaî… Ces yeux mystérieux ouverts sur le…
Dressé par la famine L’enfant répond toujours je mange Viens-tu je mange Dors-tu je mange.
Un immense frisson émeut la plaine… C’est l’heure où Pythagore, Hésio… Songeaient ; c’est l’heure où, las… Contemplé l’azur sombre et l’étoil… Pleins d’horreur, s’endormaient le…
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
C est l esquisse de la poésie . Les remparts historiques du châtea… Sur la butte rouge de la Cité. Dans la vallée de Sofia et du fle… Dans la brousse .. le vent est ve…
Les quatre enfants pleuraient et l… Tout dans ce lieu lugubre effrayai… Sur le grabat gisait le cadavre ha… C’était déjà la tombe et déjà le f… Pas de feu ; le plafond laissait p…
Ils ne sont plus, laissez en paix… Par d’injustes clameurs ces braves… À se justifier n’ont pas voulu des… Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défe…
Le Cœur de la peinture c’est parfois… cœur même de la terre quelque chose qui bat quelque part à
Ô saisons ô châteaux, Quelle âme est sans défauts ? Ô saisons, ô châteaux, J’ai fait la magique étude Du Bonheur, que nul n’élude.
L’amour est infatigable ! Il est ardent comme un diable, Comme un ange il est aimable. L’amant est impitoyable, Il est méchant comme un diable,
J’aime la petite pluie Qui s’essuie D’un torchon de bleu troué ! J’aime l’amour et la brise, Quand ça frise...
Vous n’avez rien compris à ma simp… Rien, ô ma pauvre enfant ! Et c’est avec un front éventé, dép… Que vous fuyez devant. Vos yeux qui ne devaient refléter…
Sur le visage du soir la main du rêv « a doucement posé… nuit et sur un vieux cadran solair… Tout près dans la même lueur une inscription…
Contrerime XIV. Le coucou chante au bois qui dort. L’aurore est rouge encore, Et le vieux paon qu’Iris décore Jette au loin son cri d’or.
Écoute-moi. Voici la chose nécessa… Être aimé. Hors de là rien n’exist… Être aimé, c’est l’honneur, le dev… C’est Dieu, c’est le démon, c’est… Cela dit, tout est dit. Pour que…
Donc, ce sera par un clair jour d’… Le grand soleil, complice de ma jo… Fera, parmi le satin et la soie, Plus belle encor votre chère beaut… Le ciel tout bleu, comme une haute…
Alain, je reviens après .. un lon… Des années entières sur cette plag… J ai regardé les hommes nus sur le… Le poète vient de finir l ouvrage… L homme avait subit des évènements…
Écoutez. Une femme au profil décha… Maigre, blême, portant un enfant é… Est là qui se lamente au milieu de… La foule, pour l’entendre, autour… Elle accuse quelqu’un, une autre f…
UNE VOIX Tu fus sage d’ouvrir, il vint à la… UNE AUTRE VOIX La première venue en forme d’oisea… UNE voix
–Allons, dit-elle, encor ! pourquo… Songeur, dans votre puits vous voi… A quoi bon pour rêver venir dans u… Moi, je lui dis, tandis qu’elle in… Et que son bras charmant à mon bra…
Sinite… JESUS. Laissez. – Tous ces enfants sont… Que la bulle d’azur que mon souffl… A leur souffle indiscret s’écroule…
Ô croisée ensommeillée, Dure à mes trente-six morts ! Vitre en diamant, éraillée Par mes atroces accords ! Herse hérissant rouillée
Là-haut qui sourit ? Est-ce un esprit ? Est-ce une femme ? Quel front sombre et doux ! Peuple, à genoux !
Couleur du temps, c’est la couleur de cet album et si l’oiseau bleu n’apparaît pas flgurativement, il est là tout de même, Peter Cornélius a su le voir et nous le montre ingénument. Par...
Je veille. Ne crains rien. J’atte… Les anges sur ton front viendront… Je ne veux pas sur toi d’un rêve a… Farouches ; Je veux qu’en te voyant là, ta mai…
La sainte vérité qui m’échauffe et… Écarte et foule aux pieds les voil… Ma muse de nos maux flétrira les a… Dussé-je voir briser ma lyre Par le glaive insolent de nos libé…
Vous qui venez ici Dans une humble posture De vos flancs alourdis Décharger le fardeau Veuillez quand vous aurez
On a cru devoir réimprimer cette o… en juin 1826, à l’époque du désast… en la lisant, que tous les journau… tué dans son brûlot par une bombe… Depuis, cette nouvelle fatale a ét…
Voyons, d’où vient le verbe ? Et… De qui tiens-tu les mots dont tu f… Écriture, Alphabet, d’où tout cela… Réponds. Platon voit l’I sortir de l’air s…
Il ne se faut jamais moquer des mi… Car qui peut s’assurer d’être touj… Le sage Ésope dans ses fables Nous en donne un exemple ou deux. Celui qu’en ces vers je propose,
(Pour Jeanne seule.) II. Jeanne chante ; elle se penche Et s’envole ; elle me plaît ; Et, comme de branche en branche,
Encore une fois sur le fleuve le remorqueur de l’aube a poussé son cri plonge sa grande main chaude dans le décolleté de la nuit et d’un coup lui arrache sa belle robe du soir les épouv...
Il y a paraît-il dans une roseraie une rose qu’on appelle Veuve inconsolable du regretté Président
Notre Père qui êtes aux cieux Restez-y Et nous nous resterons sur la terr… Qui est quelquefois si jolie
Oh ! quand je dors, viens auprès d… Comme à Pétrarque apparaissait La… Et qu’en passant ton haleine me to… Soudain ma bouche S’entrouvrira !
Entre les barreaux des locaux disc… une orange passe comme un éclair et tombe dans la tinette comme une pierre