La diane chantait dans les cours d… Et le vent du matin soufflait sur… C’était l’heure où l’essaim des rê… Tord sur leurs oreillers les bruns… Où, comme un oeil sanglant qui pal…
Ah ! ne ralentis pas tes flammes ; Réchauffe mon coeur engourdi, Volupté, torture des âmes ! Diva ! Supplicem exaudî ! Déesse dans l’air répandue,
Je suis allé au marché aux oiseaux Et j’ai acheté des oiseaux Pour toi mon amour Je suis allé au marché aux fleurs
Quand chez les débauchés l’aube bl… Entre en société de l’Idéal ronge… Par l’opération d’un mystère venge… Dans la brute assoupie un ange se… Des Cieux Spirituels l’inaccessib…
Contrerime XIV. Le coucou chante au bois qui dort. L’aurore est rouge encore, Et le vieux paon qu’Iris décore Jette au loin son cri d’or.
Voici le soir charmant, ami du cri… II vient comme un complice, à pas… Se ferme lentement comme une grand… Et l’homme impatient se change en… Ô soir, aimable soir, désiré par c…
Volets ouverts carreaux cassés ensoleillés paroles données promesses échangée… une voix qui se voilait soudain s’… l’autre voix qu’elle caresse conna…
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
A tes vingt ans Pablo à tes vingt ans d’hier et à… Tu tiens le bon bout de la corde d… Temps chaque jour c’est l’anniversaire d…
Dans les manèges du mensonge Le cheval rouge de ton sourire Tourne Et je suis là debout planté Avec le triste fouet de la réalité
Breton sont restés et le temps, ce qu’on appelle et interpelle le temps, n’a rien à voir ni à entendre là-dehors ou là-dedans. Jean est surréaliste, peu importe ou exporte depuis quand....
En examinant même rapidement les images saintes, les illustrations et bibles, de catéchismes et autres livres édifiants et sacrés, on constate que les animaux créés par Dieu avant l’hom...
Le lézard de l’amour S’est enfui encore une fois Et m’a laissé sa queue entre les d… C’est bien fait J’avais voulu le garder pour moi.
A la grande nuit au petit jour au… Voilà ce qu’il lui chantait Son cœur à elle lui battait froid Je voudrais que tu n’aimes que moi Il lui disait qu’il était fou d’el…
Le loup criait sous les feuilles En crachant les belles plumes De son repas de volailles : Comme lui je me consume. Les salades, les fruits
L’effort humain n’est pas ce beau jeune homme sour… debout sur sa jambe de plâtre ou de pierre et donnant grâce aux puérils artif…
Les clefs de la ville Sont tachées de sang L’Amiral et les rats ont quitté l… Depuis longtemps Sœur
Étranges étrangers Kabyles de la Chapelle et des quais de Javel hommes des pays loin
Au musée de cire du Souvenir vous prenez la galerie des projets… le couloir des velléités l’escalier des faux désirs
Ils ne veulent pas entrer dans la… Il ne veulent pas, dans la poussiè… - Leurs vertus, ça les fait marrer Leur poussière, ça les fait tousse…
Le petit homme qui chantait sans c… le petit homme qui dansait dans ma… le petit homme de la jeunesse a cassé son lacet de soulier et toutes les baraques de la fête
Au milieu des flacons, des étoffes… Et des meubles voluptueux, Des marbres, des tableaux, des rob… Qui traînent à plis somptueux, Dans une chambre tiède où, comme e…
Booz s’était couché de fatigue acc… Il avait tout le jour travaillé da… Puis avait fait son lit à sa place… Booz dormait auprès des boisseaux… Ce vieillard possédait des champs…
Il me semble parfois que mon sang… Ainsi qu’une fontaine aux rythmiqu… Je l’entends bien qui coule avec u… Mais je me tâte en vain pour trouv… À travers la cité, comme dans un c…
Contemple-les, mon âme ; ils sont… Pareils aux mannequins ; vaguement… Terribles, singuliers comme les so… Dardant on ne sait où leurs globes… Leurs yeux, d’où la divine étincel…
Que me conseillez-vous, mon coeur… Irai-je par devers la belle Lui dire la peine mortelle Que souffrez pour elle en douleur… Pour votre bien et son honneur,
L’homme s’enfuit, le cheval tombe, La porte ne peut pas s’ouvrir, L’oiseau se tait, creusez sa tombe… Le silence le fait mourir. Un papillon sur une branche
Ex-voto dans le goût espagnol Je veux bâtir pour toi, Madone, m… Un autel souterrain au fond de ma… Et creuser dans le coin le plus no… Loin du désir mondain et du regard…
Une horloge sonne douze coups Qui sont ceux de minuit Adorable soleil des enfants endorm… Dans une ménagerie A la fête de
Parmi l’arbre, la brise berce La vipère que je vêtis ; Un sourire, que la dent perce Et qu’elle éclaire d’appétits, Sur le Jardin se risque et rôde,
Debout devant le zinc Sur le coup de DIX heures Un grand plombier zingueur Habillé en dimanche et pourtant c’… Chante pour lui tout seul
J’implore ta pitié, Toi, l’unique… Du fond du gouffre obscur où mon c… C’est un univers morne à l’horizon… Où nagent dans la nuit l’horreur e… Un soleil sans chaleur plane au-de…
A chaque kilomètre chaque année des vieillards au front borné indi…
C’est la Mort qui console, hélas… C’est le but de la vie, et c’est l… Qui, comme un élixir, nous monte e… Et nous donne le coeur de marcher… À travers la tempête, et la neige,…
Que diras-tu ce soir, pauvre âme s… Que diras-tu, mon coeur, coeur aut… À la très belle, à la très bonne,… Dont le regard divin t’a soudain r… —Nous mettrons notre orgueil à cha…
Comme les anges à l’oeil fauve, Je reviendrai dans ton alcôve Et vers toi glisserai sans bruit Avec les ombres de la nuit ; Et je te donnerai, ma brune,
Oui, l’Anio murmure encore Le doux nom de Cynthie aux rocher… Vaucluse a retenu le nom chéri de… Et Ferrare au siècle futur Murmurera toujours celui d’Eléono…
Quand les cloches du soir, dans le… Feront descendre l’heure au fond d… Quand tu n’auras d’amis, ni d’amou… Pense à moi ! pense à moi ! Car les cloches du soir avec leur…
Tant de forêts arrachées à la terr… et massacrées achevées rotativées Tant de forêts sacrifiées pour la…
Devant la porte de l’usine le travailleur soudain s’arrête le beau temps l’a tiré par la vest… et comme il se retourne et regarde le soleil
Sous le ciel bleu de Méthylène si grave était le chant des grives Et quand tous deux nous gravission… de l’escalier de la maison
Jeanne-Marie a des mains fortes, Mains sombres que l’été tanna, Mains pâles comme des mains mortes… —Sont—ce des mains de Juana ? Ont-elles pris les crèmes brunes
Je passais près du feu dans la sal… Aux volets clos, aux lumières étei… Et je vis qu’il brûlait encore, et… En cet instant à ce point d’équili… Entre les forces de la cendre, de…
Ton rire est comme un tourbillon d… Froissant l’air chaud, l’enveloppa… Amer, tu annules toute tragédie, Et ton souci d’être un homme, ton… Je voudrais t’enfermer avec ta vie…
Été, roche d’air pur, et toi, arde… Ô mer ! Éparpillée en mille mouche… Les touffes d’une chair fraîche co… Et jusque dans la bouche où bourdo… Et toi, maison brûlante, Espace,…
Ô courbes, méandre, Secrets du menteur, Est-il art plus tendre Que cette lenteur ? Je sais où je vais,
Rien n’est jamais acquis à l’homme… Ni sa faiblesse ni son coeur Et q… Ouvrir ses bras son ombre est cell… Et quand il croit serrer son bonhe… Sa vie est un étrange et douloureu…
En argot les hommes appellent les… c’est dire comme ils sentent que l… mais la languie verte des arbres e… Qui peut savoir ce qu’ils disent l… Les arbres parlent arbre comme les…
Le tendre et dangereux visage de l… C’était peut-être un archer avec s… Je ne sais plus Je ne sais rien Tout ce que je sais c’est qu’il m’…
Un homme sort de chez lui C’est très tôt le matin Cest un homme qui est triste Cela se voit à sa figure Soudain dans une boîte à ordures
Dans un square sur un banc Il y a un homme qui vous appelle q… Il a des binocles un vieux costume… Il fume un petit ninas il eet assi… Et il vous appelle quand on passe
Cœur de docker C’est le titre de ma chanson Ça se passe à Anvers ou à Hambourg ou à
J’en ai vu un qui s’était assis sur le chapeau d’un autre il lui était absolument impossible de faire un geste ou de parler et l’autre l’autre qui cherchait « son » chapeau était plus p...
Toi qui, comme un coup de couteau, Dans mon coeur plaintif es entrée… Toi qui, forte comme un troupeau De démons, vins, folle et parée, De mon esprit humilié
Dans les montagnes de Cachemire Vit le sultan de Salamandragore Le jour il fait tuer un tas de mon… Et quand vient le soir il s’endort Mais dans ses cauchemars les morts…
C’est un Breton qui revient au pays natal Après avoir fait plusieurs mauvais… Il se promène devant les fabriques… Douarnenez
Vous je ne vous regarde pas ma vie non plus ne vous regarde pa… J’aime ce que j’aime et cela seul me regarde
Dedans mon Livre de Pensée, J’ai trouvé écrivant mon cœur La vraie histoire de douleur, De larmes toute enluminée, En effaçant la très aimée
La rosée la pluie la vague la barq… La reine servante Médieuse La perle la terre Perle refusée terre consentante