J’avance, la nuit vient ; tout le… La gamme chromatique où le jaune d… Se sont changés en noir depuis que… Et la brise s’exerce aux rafales d… Quel trou miraculeux pour bâtir un…
Enfin j’ai cédé, je me plie Encor cette fois sous ta main. Ta volonté s’est accomplie : Me voilà hors de ton chemin. Pourtant, parce que trop docile
Une amoureuse flamme Consume mes beaux jours ; Ah ! la paix de mon âme A donc fui pour toujours ! Son départ, son absence
Je veux d’une plainte suave Exhaler ma peine au soleil Et que mon chant soit pur et grave Comme une campagne au réveil : Une campagne solitaire
Laissez, ne troublez pas l’heure q… Que je puisse au bonheur reprendre… Innombrables liens dont ma vie est… Pensers de chaque instant, soins d… Laissez, ô laissez-moi !
Est-ce l’avril ? Sur la colline Rossignole une voix câline, De l’aube au soir. Est-ce le chant de la linotte ? Est-ce une flûte ? est-ce la note
« Vous le savez, j’ai le malheu… Étienne Pivert de Senancour, Ober… Vierge longtemps rêvée, amante, ép… Charmant fantôme, à qui mon enfanc… Dut son premier réveil ;
À Jules Breton. Le soleil s’est levé rouge comme u… Sur un étang des bois :—il arrondi… Dans le ciel embrumé, comme un ast… Mais le voilà qui monte en éclaira…
À Madame ***. Ô laissez-vous aimer !... ce n’est… Ce n’est pas un aveu que mon ardeu… Ce n’est pas de verser mon âme dan… Ni de vous enivrer des langueurs d…
Toi par qui j’ai senti, pour des h… Ma jeunesse renaître et mon cœur r… Sois bénie à jamais ! J’aime, je… J’ai vécu le meilleur et le plus b… Et vous qui me rendiez le matin de…
Quand tu constates les ravages Du mal qu’autrefois tu m’as fait, Devant cette mer sans rivages, Tu sembles rester stupéfait. Et de tes paupières baissées,
J’aime tes belles mains longues et… Qui, pareilles au lis, n’ont jamai… Mais savent le secret des musiques… Qui parlent à voix lente au cœur é… J’aime tes belles mains longues et…
Frappe encor, Jupiter, accable-mo… L’ennemi terrassé que tu sais impu… Écraser n’est pas vaincre, et ta f… S’éteindra dans mon sang, Avant d’avoir dompté l’héroïque pe…
Ami, ton dire est vrai ; les peint… Luit en tableaux sans nombre aux v… S’occupaient assez peu des hautes… Et savaient mal de l’art le côté r… Mais, comme dans son champ dès l’a…
Les corps humides s’amassent sur l… Les larmes souillent le sol de la… Dans laquelle ils ne reviendront s… Les lamentations ennuient les étoi… La musique soudainement se charge…
Qui peut empêcher l’hirondelle, Quand vient la saison des frimas, D’aller chercher à tire d’aile D’autres cieux et d’autres climats… Qui peut, lorsque l’heure est venu…
Certain cafard, jadis jésuite, Plat écrivain, depuis deux jours Ose gloser sur ma conduite, Sur mes vers, et sur mes amours : En bon chrétien je lui fais grâce,
Le prêtre avait béni l’enfant qu’o… Trois vieilles sœurs buvaient au f… Depuis DIX ans les sœurs ne s’ét… Qu’une fois ; les soleils de Pari… On se voit quand on peut dans la s…
STANCES. 1586. Si des maux renaissants avec ma pa… N’ont pouvoir d’arrêter un esprit… Le temps est médecin d’heureuse ex…
Mon ange a reployé ses ailes Et dort glacé sous un linceul ; Coulez, ô larmes éternelles, Car ici-bas je reste seul. Ô chère ombre au ciel envolée,
C’était la nuit ardente et le reto… Vaincue et triomphante et chasteme… Elle disait d’un ton de bien-être… Les roses s’effeuillaient sur sa t… Où murmurait encor l’âme des violo…
Dans cette tasse claire où luit un… J’ai versé du lait blanc pour ta l… Comme un enfant dolent le long du… Un rayon de soleil s’étant couché… Vois, la mouche gourmande est plus…
Joh Mera Hissa Woh Apne Saath L… Ussey Woh Apna Mukammal Jahan K… Yuh Toh Mujhse Mujhiko Churake… Khushnaseeb Hain Woh Jinse Woh… Yuh Toh Phir Mukammal Apna Jaha…
Pourquoi des anciens jours réveill… Ma voix suffirait elle à leur imme… Laissez, laissez dormir les antiqu… Ne forcez point mes yeux à se moui… Parti du fond de la Syrie,
Matin, j’ai tout aimé, et j’ai tou… À l’heure où les humains vous dema… Pour aborder la vie accommodante o… Rendez mon cœur pesant, calme et d… Les humains au réveil ont besoin q…
Je voudrais être un homme : or rie… Ne touche au fond sacré de l’human… Aux heures de paresse on s’arrête… Comme on entre dans une auberge so… Pour y goûter un peu la paix volup…
Une nuit noire, par un calme, sous… Le Temps, l’Étendue et le Nombre Sont tombés du noir firmament Dans la mer immobile et sombre. Suaire de silence et d’ombre,
Chanson. Qui l’a donc sitôt fauchée, La fleur des moissons ? Qui l’a donc effarouchée, La Muse aux chansons ?
Lorsqu’Éole a, dans leur caverne, Renfermé les tristes autans, Quand l’oiseau qui chez nous hiver… S’en va regagner ses étangs, Ô doux printemps, ta jeune épouse,
Lasse enfin de courir, vagabonde p… Ne reprendras-tu point ton allure… Ton pas doit-il fouler le pavé des… Et ta main, sans pudeur, toucher t… N’as-tu pas regretté, dans tes lab…
La jeune fille : Beau papillon qui viens à ma fenêt… Te réjouir sur le sein de mes fleu… Petit coquet, tu les trahis peut-ê… Car à chaque aube on les voit tout…
Chez mes pays, qui sont rustiques Dans tel cas simplement pieux, Voire un peu superstitieux, Entre autres pratiques antiques, Sur la tête du paysan,
Entrons dans l’herbe florissante Où le soleil fait des chemins Que caressent, comme des mains, Les ombres des feuilles dansantes. Respirons les molles odeurs
Ô les mots qu’on adresse à la femm… Les mots qu’on veut badins, spirit… Mots voilés et pensifs, échappés o… —Prélude où le désir se cache dans… Ô les regards soudainement pleins…
À Philippe Gille. Deux ramiers voyageurs, emperlés d… Ont abattu leur vol au bord de ma… Ouverte à l’orient... Je les ai r… Car chez moi, l’an passé, tous deu…
L’aigu bruissement des ruches natu… Parmi les tamarins et les manguier… Se mêlait, tournoyant dans l’air s… À la vibration lente des bambous g… Où le matin joyeux dardait l’or de…
Oh ! redis-les encor ces paroles d… Rends-nous ces flots si purs qui s… Rends-nous l’écho lointain de ces… Que le chrétien ne doit entendre q… Hélas ! qui t’a si jeune enseigné…
Le sang de l’innocent a tant rougi… La force a tant pesé sur le monde… Qu’on craint toujours de voir dans… Du génie et des arts le soleil écl… Refrain :
L’hiver a ses plaisirs ; et souven… Quand un peu de soleil jaunit la t… Avec une cousine on sort se promen… —Et ne vous faites pas attendre po… Dit la mère. Et quand on a bien,…
Le soleil parsème d’espoirs brisés L’écume qui reflète les désirs oub… Le moteur rugit et couvre ta voix Je suis si seul sur ce bateau où t… Je jette des vers
J’aime quand nos regards se croise… Quand mes yeux, éblouis, vénèrent La beauté de tes iris verts, Le plus beau des verts qui m’écras… J’aime quand souvent mes narines
Enfant qui seras femme, N’ouvre jamais ton âme Qu’aux modestes vertus ; Que ta charité sainte Berce et calme la plainte
7 les couleurs de l’arc-en-ciel, 7… 7 vies ont les chats Jusqu’à présent il est temps, tu l… Réunissons nos 14 orifices puis so…
Tous en beauté croissaient ensembl… Sous le toit qui leur était cher ; Cherchez quel tombeau les rassembl… Les monts, les fleuves et la mer ! Au soir, la même et tendre mère
C’est une mer, un Lac blême, macu… Sombres, et pullulant de vastes cr… Qui troublent l’eau sinistre et qu… Quand la nuit morne exhale et déro… Un brusque tourbillon de moustique…
Adieu, Paris, adieu, ville où le… Je reconnais le chemin vert Où j’ai quitté trop tôt ma plus do… Salut, vieux mont de bois couvert… J’ai perdu dans ces bois les ennui…
L’oiseau observe tout son entourage. L’œil n’est jamais fixe sauf si l’attention naît dans la beauté.
(Sur le départ de Madame la marqu… Allez, belle marquise, allez en d’… Semer les doux périls qui naissent… Vous trouverez partout les âmes to… A recevoir vos lois et grossir vos…
Aux Dames, pour les demi-Dieux ma… Neptune, dans le carrousel des qua… En mars 1606. Ô qu’une sagesse profonde Aux aventures de ce monde
Sonnet LI. Mauny, prenons en gré la mauvaise… Puisque nul ne se peut de la bonne… Et que de la mauvaise on peut bien… Etant son naturel de n’être jamais…
Goûte, me dit le Soir de juin ave… Goûte ma reposante et secrète harm… Et forme tendrement ton âme et ton… Sur le ciel d’où je viens avec la… Regarde-nous marcher au bord de la…
Je veux de ma Caroline Faire le gentil portrait, Et que chacun le devine Sans deviner qui l’a fait. L’amour embellit, pour plaire,
Chanson. Aimons-nous follement ! C’est la chanson, ma mie, Que dit le cœur de ton amant À chaque battement.
La nuit, lorsque je dors et qu’un… Arrondit sur le monde une vaine be… Quand les hautes maisons obscures… Ont la paix des tombeaux d’où le s… Il n’est plus, morts dissous, d’in…
suite de Odes, par le Vampire Hybrizein où je vous explique comment l'améthyste autrefois brillante comme une étoile fut irrémédiablement tachée par le sang bleu d'un animal mythologiqu...
A la télévision, le récit vécu par deux régiments français et allemands, au cours de la guerre de 1914-1918, appelée « La Grande Guerre » qui dura quatre années.... C’était la veille de...
C est l œuvre du gaypard . L homme adore se soulagé . Se décharger .. se vider les coui… Dans le corps musclé des copains… J adore la sauce gourmande .
Et puis arrive la douceur d’un dim… Alors que nos âmes s’éveillent dou… J’effleure ton corps J’effleure ton visage J’effleure tes lèvres
Oui, les illusions dont toujours j… En vain leurrent mon cœur d’un esp… Impassible et cruel le monde les d… Ainsi que des brins d’herbe emport… Et moi, me rattachant à ma fortune…
Sonnet CV. De voir mignon du roi un courtisan… Voir un pauvre cadet l’ordre au co… Un petit compagnon aux états parve… Ce n’est chose, Morel, digne d’en…