Une querelle. Pourquoi ? Mon Dieu, parce qu’on s’adore. À peine s’est-on dit Toi Que Vous se hâte d’éclore. Le coeur tire sur son noeud ;
Poings carnassiers teintés du ciel… torche parmi les fûts héréditaires œil sans rives sans mémoire dieu et que n’importunent vos fumé… par la mort et la fête
Je n’ai pas oublié, voisine de la… Notre blanche maison, petite mais… Sa Pomone de plâtre et sa vieille… Dans un bosquet chétif cachant leu… Et le soleil, le soir, ruisselant…
Demain, dès l’aube, à l’heure où b… Je partirai. Vois-tu, je sais que… J’irai par la forêt, j’irai par la… Je ne puis demeurer loin de toi pl… Je marcherai les yeux fixés sur me…
A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou
Notre paire quiète, ô yeux ! que votre « non » soit sang (t’y f… que votre araignée rie, que votre vol honteux soit fête (a… sur la terre (commotion).
C’est ma faute C’est ma faute Cest ma très grande faute d’orthog… Voilà comment j’écris Giraffe.
Si vous n’avez rien à me dire, Pourquoi venir auprès de moi ? Pourquoi me faire ce sourire Qui tournerait la tête au roi ? Si vous n’avez rien à me dire,
Cri du coq Chant du cygne de la nuit Monocorde et fastidieux message Qui me crie Aujourd’hui ça recommence
La tribu prophétique aux prunelles… Hier s’est mise en route, emportan… Sur son dos, ou livrant à leurs fi… Le trésor toujours prêt des mamell… Les hommes vont à pied sous leurs…
Le temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye, Et s’est vestu de brouderie, De soleil luyant, cler et beau. Il n’y a beste, ne oyseau,
Il est des jours– avez—vous remarq… Où l’on se sent plus léger qu’un o… Plus jeune qu’un enfant, et, vrai… Que la même gaieté d’un damoiseau. L’on se souvient sans bien se rapp…
Ils marchent devant moi, ces Yeux… Qu’un Ange très savant a sans dou… Ils marchent, ces divins frères qu… Secouant dans mes yeux leurs feux… Me sauvant de tout piège et de tou…
Le soleil, sur le sable, ô lutteus… En l’or de tes cheveux chauffe un… Et, consumant l’encens sur ta joue… Il mêle avec les pleurs un breuvag… De ce blanc Flamboiement l’immuab…
Quand elle part, sa grâce invente… Charmants, un gant laissé, la fenê… « Elle avait oublié de dire quelqu… C’est toujours puéril et c’est exq… La dernière caresse a fait ses bra…
Tout est doux et clément ! astres… Tout ce que nous suivons de nos ye… Tient de Dieu sa clarté. Il est dans les soleils comme il e… L’atome est plein de gloire, et le…
II. Waterloo ! Waterloo ! Waterloo !… Comme une onde qui bout dans une u… Dans ton cirque de bois, de coteau… La pâle mort mêlait les sombres ba…
Voici venir les temps où vibrant s… Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un… Les sons et les parfums tournent d… Valse mélancolique et langoureux v… Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un…
Un jour, Dieu sur sa table Jouait avec le diable Du genre humain haï. Chacun tenait sa carte L’un jouait Bonaparte,
Élégie XIII. C’était une âme neuve, une âme de… Toute de feu, cachant à ce monde f… Ce qui fait le poète, un inquiet d… De gloire aventureuse et de profon…
Elle dit au berger : « Approche. C’est moi qui t’attirais enfant ve… baissées. Seulement à la lumière frisante, c…
Le soleil s’est couvert d’un crêpe… Ô Lune de ma vie ! emmitoufle-toi… Dors ou fume à ton gré ; sois muet… Et plonge tout entière au gouffre… Je t’aime ainsi ! Pourtant, si tu…
Imaginez Diane en galant équipage… Parcourant les forêts ou battant l… Cheveux et gorge au vent, s’enivra… Superbe et défiant les meilleurs c… Avez-vous vu Théroigne, amante du…
L’aube je t’aime j’ai toute la nui… Toute la nuit je t’ai regardée J’ai tout à deviner je suis sûr de… Elles me donnent le pouvoir De t’envelopper
Deux guerriers ont couru l’un sur… Ont éclaboussé l’air de lueurs et… Ces jeux, ces cliquetis du fer son… D’une jeunesse en proie à l’amour… Les glaives sont brisés ! comme no…
Enfant ! si j’étais roi, je donner… Et mon char, et mon sceptre, et mo… Et ma couronne d’or, et mes bains… Et mes flottes, à qui la mer ne pe… Pour un regard de vous !
Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde
Il est une âme enfin que comprend… Mon âme ranimée, échappant aux enn… Car mes regards ont vu cette femme… Que j’avais tant rêvée en mes plus… Petits oiseaux, venez près d’elle
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
Allons, mon pauvre cœur, allons, m… Redresse et peins à neuf tous tes… Brûle un encens ranci sur tes aute… Sème de fleurs les bords béants du… Allons, mon pauvre cœur, allons, m…