#ÉcrivainsFrançais
Pour ceux qui l’aiment La ville se laisse découvrir Nue Pour les autres elle s’habille elle s’endimanche
Regarde le pauvre Vincent Foudroyé par son propre orage Qui s’écroule sur le carreau Couché dans son plus beau tableau Et l’orage s’en va calmé indifférent En roulant devant lui ses gra...
Je m’endors avec des oiseaux plein… Et je rêve d’un jardin Mais si tes yeux sont loin des mie… Je m’endors avec des larmes plein… Et mon rêve s’appelle : chagrin.
Georges Ribemont-Dessaignes vient de faire 80 fois le tour du Monde en 365 ou 6 jours
Braves gens écoutez ma complainte écoutez l’histoire de ma vie c’est un orphelin qui vous parle qui vous raconte ses petits ennuis hue donc...
Dieu et c’est en pure perte que ses émissaires, ses commissaires, ses prêtres, ses directeurs de conscience, ses ingénieurs des âmes, ses maîtres à penser se sont évertués à me sauver. ...
Rue de Seine DIX heures et demie le soir au coin d’une autre rue un homme titube... un homme jeune
« Jacques d’Hondt, qui a écrit deux livres remarquables sur la philosophie de Hegel, vient d’en publier deux autres qui constituent une sorte d’enquête sur sa vie, ses amitiés, ses lect...
Elles sont dans un musée, derrière une vitre, en Grèce, et les hommes qui les ont sculptées, comme on dit, vivaient neuf à sept siècles avant Jésus-Christ... c’est-à-dire il y a très tr...
Émerveillée de tout ne s’étonnant… une fillette chantait suivant les saisons suivant son ch… Quand les oignons me feront rire les carottes me feront pleurer
Il posa son chapeau sur le lit et… Miséricorde pénétra dans la chambr… il mit à vif la cicatrice de l’oub… - Nous avions de quoi vivre
mais toi tu connais beaucoup de choses tu as le vrai savoir-vivre ce qu’il faut faire tu le fais quand il faut le faire tu le fais tu n’en fais pas un plat tu le fais et puis tu t’en va...
Derrière un mur de triple verre au grand musée des machines dans un petit bloc de glace une fraise des bois est exposée le monde entier s’écrase pour contempler cette fraise des barèmes...
Encore une fois sur le fleuve le remorqueur de l’aube a poussé son cri plonge sa grande main chaude dans le décolleté de la nuit et d’un coup lui arrache sa belle robe du soir les épouv...
Beaucoup d’eau a passé sous les po… et puis aussi énormément de sang Mais aux pieds de l’amour coule un grand ruisseau blanc Et dans les jardins de la lune