Poings carnassiers teintés du ciel brisé
torche parmi les fûts héréditaires
œil sans rives sans mémoire
dieu et que n’importunent vos fumées bleues
par la mort et la fête
avec aux naseaux des fleurs inespérées
avec sur le dos le jeune vol de courlis des oiseaux de la
phosphorescence
et un perfide chant vivant
dans les ruines indestructibles de son silence