Bien loin est un monde trépât Car bien triste est l’Univers san… Bien triste est l’âme qui jamais n… Ô lune, invisible ou toi que je vo… Malheureuse est la Terre sans Sol…
Sonnet. J’ai vu le soleil dur contre les t… Ferrailler. – J’ai vu deux fers s… Deux fers qui faisaient des parade… Des merles en noir regardaient bri…
Le ciel profond reflète en étoiles… Car nous pleurons, ce soir, de nou… La brume est chaude, la plus blanc… La chair baigne en un lac balsamiq… Nocturne ajoute à la confusion des…
Morire. Oh le printemps ! – Je voudrais p… C’est drôle, est-ce pas : Les mou… Font toujours ouvrir leur fenêtre, Jaloux de leur part de printemps !
Bercés d’un fol espoir, nous aimio… Le cœur ému d’amour aux accords de… Pour nous seront ses chants, Au pays bien-aimé seront les fleur… Mais Christ le conviait aux hymne…
Sois pure comme la rosée, Comme le ciel que tu reflètes ; Sois légère aux herbes brisées, Ame tremblante du poète. Colore-toi du sang de l’aube,
Léman, roi de nos lacs ! dont le b… Sous le pied des grands monts cour… Miroir de notre amour,—je veux cha… Ton onde où le soleil baigne ses a… Caps perdus dans l’azur ! harmonie…
Avez-vous quelque espoir dans la p… Mais on s’arme. Toujours l’homme,… Toujours le « væ victis » du Barb… Et la fraternité n’est qu’un fade… Sous la tunique sombre ou sous le…
Sonnet. Deux sonnets partagent la ville, Deux sonnets partagent la cour, Et semblent vouloir à leur tour Rallumer la guerre civile.
J’irai marcher en hiver saoulé sous le vert des forêts conifères sapins bouleaux châtaigniers… que de marques à citer
Le bord de ma fenêtre le bord de route cabossée d’éclats de grondements motorisés métalliques Le bord de mon lit
Le soir léger, avec sa brume clair… Meurt comme un mot d’amour aux lèv… Comme l’humide et chaud sourire he… Qui rêvent dans leur chair d’ancie… La ville, pacifique et lointaine,…
Le jour blanc se levait à peine su… Des gouttes d’eau tintaient à mon… Je m’accoudai, tremblant de fièvre… De l’océan obscur et rauque et de… Sépulcre cimenté de plomb blême et…
La lampe du poète agonisait dans l… Des rapides printemps il voyait fu… La faim, de son toit pauvre, écart… Sa cruche se vidait, et couché sur… « Il faut donc, disait-il, il faut…
Par ses yeux conquerans fust trist… Ma serve liberté, en la propre sai… Que le soleil plus chault reprend… Sa course d’autre part qu’il ne l’… Et au poinct proprement du solstic…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Avant que mon désir douloureux soi… D’un amour qui l’apaise enfin ou d… Entendrai-je souvent encore la mer… Bruire aux alentours de ma chère d… Trop de fois, taciturne et sombre,…
Toi qui près d’un beau visage Ne veux que feindre l’amour, Tu pourrais bien quelque jour Éprouver à ton dommage Que souvent la fiction
Devant le ciel de nacre et d’or d’… Nous accoudons, pensifs, après la… Notre langueur d’amants heureux à… Bientôt, comme un joyau candide, v… A l’occident la belle étoile de l’…
Miséricorde, ô Cieux, ô Dieux imp… Epouvantables flots, ô vous, pâles… Qui même avant la mort faites mour… En horreur, en pitié, voyez ces mi… Ce navire se perd, dégarni de ses…