Maintenant, largesse au prétoire ! Trinquez, soldats ! et depuis quan… A-t-on peur de rire et de boire ? Fête aux casernes ! fête au camp ! L’orgie a rougi leur moustache,
C est le chapitre de l hiver . C est la rubrique du mardi matin… Les enfants des rues du Trop Kadé… Du sarouth et du rouge riz voltril… C est les gamins misérables .. me…
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Sonnet. Je vous estime, Iris, et crois po… Permettre à mon respect un aveu si… Il est vrai qu’à chaque moment Je songe que je vous estime.
Le poète Alain adore les hommes… Ceux, qui ont une belle pomme . J adore sucer la banane et le gla… J adore me faire pilonner par le d… Avaler le lait crémeux .
Corbeau ! Corbeau, Tu m’observes en planant… Scrutant mes moindres gestes, comm… Dans un calme inégalé, parfois imm… Ta patience se révèle bien habile.
À André Gill. Sous un roi d’Allemagne, ancien, Est mort Gottlieb le musicien. On l’a cloué sous les planches. Hou ! hou ! hou !
L’Automne Dans les bois où loge les grands c… Se répand ici-bas une curieuse atm… Aujourd’hui je remarque une nature… Qui semble se ternir dans une fati…
Ce refuge dans ta main Dans ce combat de tout les instant… Je lutte encore et encore quel qu’… Fatigué, abandonné et perdant tout… Je n’avais qu’un désir, sortir de…
Plût-il à Dieu n’avoir jamais tât… Si follement le tétin de m’amie ! Sans lui vraiment l’autre plus gra… Hélas ! ne m’eût, ne m’eût jamais… Comme un poisson, pour s’être trop…
On cherche tous notre place, dans… A croire qu’il n’y a de foie, qu’a… Tout ça est insipide, de larges ri… Qui coulent toutes en cœur, avec u… Que n’efface le bonheur, qui est d…
Aimez-vous le passé Et rêver d’histoires Évocatoires Aux contours effacés ? Les vieilles chambres
Contrerime XLIX. J’ai beau trouver bien sympathique Feu Loufoquadio, Ses Japs en sucre candiot, Son Bouddha de boutique ;
Je ne sais pas si je préférais la braise de ses tempes ou les flammes de sa tignasse qui brûlaient tout en montant en haut de sa tête de Méduse masculine purement enchantée. Les chenets...
C est la dame de la poésie . L astre de mes douces nuits . La muse Lucie .. la beauté divin… Celle .. qui vient de sortir de la… Les cheveux châtains dans les étoi…
Maintenant il se dit :—L’empire e… La victoire est peu sûre.— Il cherche à s’en aller, furtif et… Reste dans la masure ! Tu dis :—Le plafond croule. Ils v…
Ce matin, j ai sorti le chien . Sur le vert chemin . J ai rencontré un pêcheur nu . J adore cette belle vue . J ai enlevé mon pantalon .
Te voir resplendissante, te regard… Aimant ta bien pensance, je jubile… Face à cette butte d’argent, qui m… Voir là tous ces diamants, demande… Tel un leopard blanc, perdu dans t…
Le vieux maître excellent de l’éco… N’a certes pas créé ses tableaux d… Tant leur style absolu témoigne du… De ne confier rien à la main qui h… La Joconde n’est point parfaite p…
Fais rafraîchir mon vin, de sorte Qu’il passe en froideur un glaçon… Fais venir Jeanne, qu’elle apport… Son Luth pour dire une chanson ; Nous ballerons tous trois au son ;
Du travail des aïeux, salut, cher… Salut, pierre modeste unie au dur… Dans notre vieil enclos, qui rarem… Je t’aime et te vénère, ô puits de… Et, des marbres taillés pour le fa…
Ciel ! après tes splendeurs, qui r… Liberté sainte ; après toutes ces… Tourbillon inouï ; Après ce Marengo qui brille sur l… Et qui ferait lâcher le premier B…
Contrerime XII. L’hiver bat la vitre et le toit. Il fait bon dans la chambre, A part cette sale odeur d’ambre Et de plaisir. Mais toi,
Par la chaîne d’or des étoiles viv… La Lampe du ciel pend du sombre a… Sur l’immense mer, les monts et le… Dans la molle paix de l’air tiède… Bercée au soupir des houles pensiv…
La bonté du soleil n’apaise pas no… Nous avons les prés clairs où l’ea… Les collines aux plis charmants co… En des bandes couleur de perle au… Nos chênes sont si hauts, si vaill…
Charme indéfinissable et fin, le s… Se glisse, souffles, fleurs et voi… Comme sa paix se pose en baume sur… Comme son calme apprend aux âmes l… Il est profond, il est limpide, so…
À Théodore de Banville. Tête penchée, Œil battu, Ainsi couchée Qu’attends-tu ?
Un amour passionné C’est pour une belle et douce créa… Que je me risque dans une périlleu… Mes sentiments se définissent par… Pour une agréable personne dont j’…
Une randonnée de sable, la sueur s… Je ne suis un être normal, qu’un p… Ces dunes de marécages, rigole de… A moi ces paysages, si peu origina… Je les juge comme ma femme, à trav…
C’est la nuit ; la nuit noire, ass… L’ombre immense élargit ses ailes… Dans vos joyeux palais gardés par… Dans vos lits de velours, de damas… Sous vos chauds couvre-pieds de ma…
La terre vue du ciel Le temps d’un voyage a suffit pour… Le temps d’une heure, d’un soupir,… D’un monde aux multiples facettes… Ce monde merveilleux aux allures d…
Tout est si noir. Submergée par cette maladie mortelle appelée « tourments », la vie n’a que pour but d’être souffrance. Comparable à une nuit sombre d’hiver qui se prolonge même lorsqu...
Cet amour si précieux Toi qui fait chavirer mon coeur, Toi qui chasse toute ma noirceur, C’est tout mon amour que je veux t… Mais je n’ai pas ces mots sacrés.
C’était l’été, en juillet cette année-là. La moisson blondissait avec les champs de blé qui dressaient leurs épis d’un air orgueilleux. Les vacances donnaient une main d’œuvre facile po...
Volez, nobles coursiers, franchiss… Pour le prix disputé, luttez avec… Sous un soleil de feu, le sol est… Pour vous voir aujourd’hui, tout e… Ainsi qu’un flot d’encens, la légè…
Poème gay vidéo-lu sur Viméo, htt… Dès le matin, lorsque l’Éthiopie s… la nuit s’endort, à l’ombre de la… C’est là que je t’ai vu, graine de… roulé comme un café dans sa toile…
C est la rubrique de Summer . C est un article sur le journal M… Le gars vient de perdre quelques d… Entre la lourde et le pavé . Le requiem du café noir sur le cha…
Lutter sans réfléchir, partir les… pour les faire déguerpir, dans cet… Je me suis assagi, à quoi bon se l… A quoi bon combattre, que rapporte… Si ce n’est la fierté, d’être mieu…
Vite me quittant pour Elle, Le jeune enfant qu’elle appelle Proche son sein se plaça. Elle prit sa tête blonde, Serra sa bouchette ronde,
L’eau terne enserre les dragues Dans un bassin de mercure Où nage, sombre teinture, La fumée aux gestes vagues. Régulière, la fumée
Et les voilà mentant, inventant, m… Les voilà, fronts sans honte et bo… Calomniant l’honneur du pays, flét… Tous les lutteurs, ceux-ci qui ver… Ceux-ci, plus grands encor, qui, v…
Mon père est mort, voici vingt ans… Enfant, je n’ai pas vu partir le c… Mais je sais la tristesse affreuse… Ce char glacé portant les morts co… Au milieu des passants affairés, e…
C est le chapitre de Mars . Un article sur le journal Express… Le prince avait traversé le palais… Tu vois .. il était habillé de pa… Pour négocier la liberté du peuple…
Le vintieme d’Avril couché sur l’… Je vy, ce me sembloit, en dormant… Qui ça, puis là, marchoit où le me… Foulant les belles fleurs de maint… Une corne et une autre encore nouv…
Un lièvre de bon caractère Voulait avoir beaucoup d’amis. Beaucoup ! Me direz-vous, c’est u… Un seul est rare en ce pays. J’en conviens ; mais mon lièvre av…
petite fleur Dans cette terre exploitée par l’h… On remarque ce qu’il en a fait, en… Ce qu’il lui a laissé de sa nature… Petit à petit détruit sa beauté or…
Église de Saint-Augustin, Au porche maigre, à l’ample dôme Dont les cloches seraient à Rome Beaucoup mieux qu’ici, le matin, Si ta circonspecte opulence
Désirs Oh mon amie tu es si belle, Ta beauté aujourd’hui m’ensorcelle… Encore et toujours elle m’attire, Et timidement tu me fais sourire.
Ulysse, Ulysse, arrête-toi, Écoute la voix des sirènes Plonge, va trouver notre reine Dans sont palais, deviens le roi. Mais Ulysse préfère au toit
La vie est si souvent morne & déco… À l’ennui l’heure lourde est tant… Que le corps s’engourdit, Et que l’âme, fuyant les épreuves… S’envole & vient saisir à travers…
Quand je te voy seule assise à par… Toute amusée avecques ta pensée, Un peu la teste encontre bas baiss… Te retirant du vulgaire et de moy… Je veux souvent pour rompre ton es…
Ces premiers froids que l’on récha… —Et des platanes d’or le long gémi… —Et l’alcôve au lit noir qui datai… Où ton corps, au hasard de l’ombre… S’illuminait parfois d’un rouge éc…
L’été De l’aube au crépuscule règne un s… Qui ne laisse place qu’à un bain d… Aucun nuage ne perturbe sa sérénit… Comme un feu luisant, sa lumière v…
Le passé est fixé Et le futur à découvrir Le présent est éphémère C’est tout ce que peux dire Pendant beaucoup de temps
Cesse de chercher sur la terre Des cœurs sensibles aux bienfaits… L’homme ne pardonne jamais Le bien que l’on ose lui faire. N’importe, ne te lasse pas ;
Non, non, je ne suis pas de ces fe… Et rendent ce dernier service à le… Pour qu’ils vivent en paix & sans… Vois-tu, ces dévoûments sont niais… Les hommes, je le sais, se complai…
Aux arbres il faut un ciel clair, L’espace, le soleil et l’air, L’eau dont leur feuillage se mouil… Il faut le calme en la forêt, La nuit, le vent tiède et discret
Type : Vers ennéasyllabes "9 pied… Il me fit un bisou dans le cou Qu’il prétendait tomber de ma poch… Un de ces baisés distraits et doux Dont la fin selon lui était proche
Vous mîtes votre bras adroit, Un soir d’été, sur mon bras... gau… J’aimerai toujours cet endroit, Un café de la Rive-Gauche ; Au bord de la Seine, à Paris :
Pour le roi allant en Limousin. 1605. Ô Dieu, dont les bontés, de nos la… Ont aux vaines fureurs les armes a… Et rangé l’insolence aux pieds de…