Vaillance
Lutter sans réfléchir, partir les affronter,
pour les faire déguerpir, dans cette réalité.
Je me suis assagi, à quoi bon se lever ?
A quoi bon combattre, que rapporte la victoire ?
Si ce n’est la fierté, d’être mieux que ce qu’on était.
Je ne suis pas un prince, avide d’épopées.
Je n’aime pas me lever, si ce n’est pour manger.
Mais même de mon assiette, une lutte fait rage,
Entre pâtes et petits pois, les couleurs m’éblouissent.
Laisse moi donc ma fourchette, je ferai un carnage,
Je n’utiliserai ma voix, seulement toutes mes envies.
Lesquelles ont la même voix, remplir mon estomac.
Aux chiottes cette vie de feignant, donne moi mon épée,
Mon cheval et mes gants, ont part s’aventurer,
dans une lointaine contrée, où vivent que les méchants.
Je vais tous leur apprendre, le bonheur est promis, à ceux qui savent répandrent, la paix et l’harmonie.
Je vais tous leur montrer, qu’il y a plus fort que soi.
Chercher à s’élever, ce n’est pas dominer, c’est au contraire aider, et au mieux en baver.
La solidarité, c’est chercher à en chier,
pour une cause juste, qui nous dépasse tous,
et chercher un seul but, se libérer de tout, se distancier de soi.
Donc ne met pas tes gants, donne moi ta plus belle gifle,
Elle te fera comprendre, tu n’en as pas envie.
Alors je serai là, afin de t’acquitter,
Je t’ouvrirai le graal, te redonnant la vie.
A toi donc la montage, où tout t’attend au pic.
