C’est le chapitre supérieur . Et où .. est passé le bonheur . Qui avait parlé de coquetterie . Sur l avenue de Paris . Le froid .. dans la pension bourge…
En Inde, la mer telle qu’elle est, de… Sur le rivage, un buffle blanc prè… Oue dire de plus, il n’y a qu’à vo… Boubat voit et nous fait voir, la…
La lune plaquait ses teintes de zi… Par angles obtus. Des bouts de fumée en forme de cin… Sortaient drus et noirs des hauts… Le ciel était gris. La bise pleur…
Puisque ce monde existe, il sied q… Sachons considérer les êtres sans… Cet homme est le bourgeois du sièc… Autrefois il vendait des suifs et… Maintenant il est riche ; il a pré…
(À un poète exilé) Généreux favoris des filles de mém… Deux sentiers différents devant vo… L’un conduit au bonheur, l’autre m… Mortels, il faut choisir.
Je suis devin, mes chers amis ; L’avenir qui nous est promis Se découvre à mon art subtil. Ainsi soit– il ! Plus de poète adulateur ;
Tu crois au marc de café, Aux présages, aux grands jeux : Moi je ne crois qu’en tes grands y… Tu crois aux contes de fées, Aux jours néfastes, aux songes,
Ces hommes passeront comme un ver… Qu’est-ce que tu ferais de leur sa… Le dégoût rend clément. Retenons la colère âpre, ardente,… Peuple, si tu m’en crois, tu prend…
Notre entrelacs d’amour à des lett… Sur un arbre se mélangeant ; Et, sur ce lit, nos corps s’entort… Comme à ton nom le nom de Jean. Croiriez-vous point, ô mer, reconn…
La bonne neige le ciel noir Les branches mortes la détresse De la forêt pleine de pièges Honte à la bête pourchassée La fuite en flèche dans le cœur
Ainsi, toujours, vers l’azur noir Où tremble la mer des topazes, Fonctionneront dans ton soir Les Lys, ces clystères d’extases… À notre époque de sagous,
Sur la route parfois on rencontre… Dont les raisins mûris sont à port… Et partons où serons-nous demain ? Car la feuille ressemble à la main… Mais chérissons le vin où se lisen…
Chopin, mer de soupirs, de larmes,… Q’un vol de papillons sans se pose… Jouant sur la tristesse ou dansant… Reve, aime, souffre, crie, apaise,… Toujours tu fais courir entre chaq…
Sainte Thérèse veut que la Pauvre… La reine d’ici-bas, et littéraleme… Elle dit peu de mots de ce gouvern… Et ne s’arrête point aux détails d… Mais le Point, à son sens, celui…
Le meurtre aux mille bras comme un… Les palais embrasés se changent en… Prêtres, femmes, époux, tout tombe… Autour de la cité s’appellent les… Les mères ont frémi : les vierges…
Dans quelques secondes Le peintre et son modèle Prendront la fuite. Plus de vertus Ou moins de malheurs
Il y avait de faibles femmes et puis des femmes faciles et des femmes fatales qui pleuraient hurlaient sanglotai… devant des hommes de paille
Ô sainte horreur du mal ! Devoir f… Quand Virgile suspend la chèvre a… Quand Lucrèce revêt de feuilles l… Quand Ennius compare au satyre co… Le bouc passant sa tête à travers…
le grand rat de cave que chacun porte dans sa poitrine petits mensonges lumineux couleur de vérité lumineuse bien en face salamandre installée dans le front du penseur bois et charbons ...
Elle voulut aller sur les bords de… Et comme un vent bénin soufflait u… Nous nous prêtâmes tous à sa belle… Et nous voilà marchant par le chem… Le soleil luisait haut dans le cie…
Celui-là, c’est le cheval qui vit tout seul quelque part très loin dans une ilé. Il mange un peu d’herbe ; derrière lui, il y a un bateau ; c’est le bateau sur lequel le cheval est venu...
C’est une laide de Boucher Sans poudre dans sa chevelure Follement blonde et d’une allure Vénuste à tous nous débaucher. Mais je la crois mienne entre tous…
Le petit est malade, le petit va mourir. Lui qui nous a donné la vue, qui a enfermé les obscurités dans les forêts de sapins, qui séchait les rues après l’orage. Il avait, il avait un e...
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
A l’horizon monte une nue, Sculptant sa forme dans l’azur : On dirait une vierge nue Emergeant d’un lac au flot pur. Debout dans sa conque nacrée,
Elle était déchaussée, elle était… Assise, les pieds nus, parmi les j… Moi qui passais par là, je crus vo… Et je lui dis : Veux-tu t’en veni… Elle me regarda de ce regard suprê…
Ô drapeau de Wagram ! ô pays de V… Puissance, liberté, vieil honneur… Principes, droits, pensée, ils fon… De toute cette gloire un vaste aba… Toute leur confiance est dans leur…
Simplement, comme on verse un parf… Et comme un soldat répand son sang… Je voudrais pouvoir mettre mon cœu… Dans un beau cantique à la sainte… Mais je suis, hélas ! un pauvre pé…
Le petit homme qui chantait sans c… le petit homme qui dansait dans ma… le petit homme de la jeunesse a cassé son lacet de soulier et toutes les baraques de la fête
L’Océan sonore Palpite sous l’oeil De la lune en deuil Et palpite encore, Tandis qu’un éclair
Comme le matin rit sur les roses e… Oh ! les charmants petits amoureux… Ce n’est dans les jasmins, ce n’es… Qu’un éblouissement de folles aile… Qui vont, viennent, s’en vont, rev…
On est Tibère, on est Judas, on e… Et l’on a Lambessa, n’ayant plus… On forge pour le peuple une chaîne… On exile, on proscrit le penseur l… Tout succombe. On comprime élans,…
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
L’âne le roi et moi Nous serons morts demain L’âne de faim Le roi d’ennui Et moi d’amour
C’est la convalescence des vacance… Entre l’arbre du bien et du mal et l’écorce terrestre le doigt de Dieu est resté coincé
C’est un âne qui dort Enfants, regardez-le dormir Ne le réveillez pas Ne lui faites pas de blagues Quand il ne dort pas, il est très…
Qu’il est joyeux aujourd’hui Le chêne aux rameaux sans nombre, Mystérieux point d’appui De toute la forêt sombre ! Comme quand nous triomphons,
Rue de Seine DIX heures et demie le soir au coin d’une autre rue un homme titube... un homme jeune
Petit air. Quelconque une solitude Sans le cygne ni le quai Mire sa désuétude Au regard que j’abdiquai
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…
Émerveillée de tout ne s’étonnant… une fillette chantait suivant les saisons suivant son ch… Quand les oignons me feront rire les carottes me feront pleurer
Toujours lui ! Lui partout ! – Ou… Son image sans cesse ébranle ma pe… Il verse à mon esprit le souffle c… Je tremble, et dans ma bouche abon… Quand son nom gigantesque, entouré…
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines,
Elles sont dans un musée, derrière une vitre, en Grèce, et les hommes qui les ont sculptées, comme on dit, vivaient neuf à sept siècles avant Jésus-Christ... c’est-à-dire il y a très tr...
C’est un large buffet sculpté ; le… Très vieux, a pris cet air si bon… Le buffet est ouvert, et verse dan… Comme un flot de vin vieux, des pa… Tout plein, c’est un fouillis de v…
Quand tu me racontes les frasques De ta chienne de vie aussi, Mes pleurs tombent gros, lourds, a… Que des fontaines dans des vasques… Et mes longs soupirs condolents
Par je ne sais quelle aventure, Un avare, un beau jour, voulant se… Au marché courut acheter Des pommes pour sa nourriture. Dans son armoire il les porta,
Les faux beaux jours ont lui tout… Et les voici vibrer aux cuivres du… Ferme les yeux, pauvre âme, et ren… Une tentation des pires. Fuis l’i… Ils ont lui tout le jour en longs…
Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! l… Le poème éternel !—La Bible ?—No… Platon, tous les matins, quand rev… Lisait les vers d’Homère, et moi… J’épelle les buissons, les brins d…
Un grand houx, de forme incivile, Du haut de sa fauve beauté, Regardait mon habit de ville ; Il était fleuri, moi crotté ; J’étais crotté jusqu’à l’échine.
Il est des cœurs épris du triste a… Tu fus un de ceux-là, peintre à la… Que Naples a salué du nom d’Espag… Rien ne put amollir ton âpreté fér… Et le splendide azur du ciel itali…
Regardez un cœur transparent, Garde-le à l’esprit, pour t’en sou… Si je mets mon âme à nu devant toi… Cherche la consolation dans la tra… Face aux constats,
Dans les vieilles forêts où la sèv… Court du fût noir de l’aulne au tr… Bien des fois, n’est-ce pas ? à tr… Pâle, effaré, n’osant regarder en… Tu t’es hâté, tremblant et d’un pa…
La hache ? Non. Jamais. Je n’en… Pas même pour ce czar devant qui j… Pas même pour ce monstre à lui-mêm… Qui supprime Tyburn abolit White… Et quand la mort, ouvrant son désa…
Jouissez du repos que vous donne l… Vous étiez autrefois des coeurs tr… Qu’un vain songe poursuit ; L’erreur vous tourmentait, ou la h… Vos bouches, d’où sortait la vapeu…
Vous n’avez pas eu toute patience, Cela se comprend par malheur, de r… Vous êtes si jeune ! Et l’insouci… C’est le lot amer de l’âge céleste… Vous n’avez pas eu toute la douceu…
Les jours avec les années les désirs avec les regrets et le lait avec le café XVI l’Année terrible l’Heure du berger et cinq minutes d’arrêt buffet. Et nous avons ajouté sans rime ni ra...
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
Les revenants de Pâques ou de la Trinité traînent leurs chaînes de montre jusqu’au
(Écrit à l’âge de quatorze ans.) Après un si joyeux festin, Zélés sectateurs de Grégoire, Mes amis, si, le verre en main Nous voulons chanter, rire et boir…