Chut ! Avançons sans bruit, gardo… Nous pourrons contempler, sous le… L’imprudente dormeuse, et ses épau… Et ses bras arrondis lui servant d… Elle a cru sans péril pouvoir se d…
Je ne suis pas présente à ses funé… Je ne suis pas allée le voir à l’h… Et que son urne soit d’ambre ou de… Ne changera rien à mon moral Mais je suis et je resterai toujou…
Abjurant ma douce paresse, J’allais voyager avec toi ; Mais mon cœur reprend sa faiblesse… Adieu, tu partiras sans moi. Les baisers de ma jeune Amante
À la porte d’un beau château Bâti pendant la Renaissance, Une dame au riche manteau, Les cheveux baignés d’une essence Divine, rit au vert coteau.
Seul, assis entre les bambous, Je joue de la cithare et je siffle… Dans la foret, oublié par les homm… La lune s’est approché : clarté.
Que le soc imprudent ait blessé sa… Le lis ne soutient plus son front… Son calice fermé languissamment s’… Perd son dernier parfum, se dessèc… Aux jours de ton printemps, ainsi,…
Bonjour .. je suis le tourangeau… Je cherche le soleil de la Cité… Une poésie du lundi, au bord de l’… Le dard puissant et le fragile ro… J ai sorti la plume contre les enn…
C est le chapitre d Avril . C est un article sur le journal C… La force ouvrière et gauche popula… Doivent gouverner le pays sans la… Tu vois .. il faut triompher du c…
À Alfred Barthe. En pays de Saintonge, où nos meil… Sont, comme au champ d’honneur, mo… Sous le fléau terrible, on voit en… Dominant les hauteurs, un vieux mo…
Bienvenue sur le blog Lacheteau… Je suis gay passions et naturiste… J adore prends le dard entre les d… Et secouer le cocotier .. quand i… Tu es obligé de sucer la banane .
Fable III, Livre V. « Tu bourdonnes, n’es-tu pas libre… Disait un écolier au hanneton fâch… D’avoir toujours un fil à la patte… Ainsi parlait Octave à ses sujets…
L autre jour .. je suis sorti pou… Avec mon copain .. l ami Paulo… Dans un dernier instant .. il ava… Dans les toilettes .. il as sorti… Un énorme engin bien monté .. ban…
Amis, accueillez-moi, j’arrive dan… Dépensons l’existence au gré de no… Vivre, c’est être libre, et pouvoi… Abandonner son âme à l’attrait du… C’est chanter, s’enivrer des cieux…
J’entendais parler tout à l’heure D’une femme supérieure. Ce n’est, ma Mignonne... pas Toi.… Car... que sais-tu faire en ce mon… Petite reine toute ronde
Trois femmes à la tête blonde Pour une mission féconde Ont rayonné sur notre monde : Ève, la Joie et la Beauté ; Maria, la Virginité ;
Fable VIII, Livre III. Au milieu des forêts, sans trop us… Mon fusil, rival de la foudre, Fait un bruit qui ne finit pas. En plaine, c’est tout autre chose…
Jule ! Heureux compagnon, dont le… Ne respirait que joie et que folle… Sais-tu que maintenant ta prose, ô… Exhale un son nouveau qui m’étonne… —Tu vois devant tes pas s’accourci…
L’âme d’une flûte soupire Au fond du pare mélodieux ; Limpide est l’ombre où l’on respir… Ton poème silencieux, Nuit de langueur, nuit de mensonge…
Sonnet à Madame G. « Non, je ne suis pas gaie en mes… Autant qu’on croirait bien, disait… Je sens aussi ma peine, et pleurer… Mais c’est que dans l’esprit j’ai…
Voici quatre-vingts ans,—plus ou m… On plutôt un vicaire, au comté de… Vivait, chétif et pauvre, et père… C’était un de ces cœurs dont l’exc… Sur le front, dans les yeux, dans…
Quelle incroyable merveille tu es. Tes talents artistiques me captive… Chacun de tes beaux dessins m’a tu… Tant leur excellence m’est attract… Ta culture est si riche, je l’admi…
Une vapeur mauve et légère Du ciel bruinait sur les monts Sa lueur caressait la terre Et la profondeur des vallons ; Sur la verte et rase prairie
Comme de leurs rameaux s’enveloppe… Dont l’humble tronc se dérobe aux… Dénoués dans nos jeux, laisse tomb… Tes noirs cheveux sur tes blanches… Autour de moi jette un bras noncha…
En mille crespillons les cheveux s… Se pincer les sourcils, et d’une o… Parfumer haut et bas sa charnure m… Et de blanc et vermeil sa face dég… Aller de nuit en masque, en masque…
Quand l’impro nous entraîne, par d… Nous sommes alors en scène, face à… Offrir son univers, où est sa dest… Ma principale prouesse, c’est auss… Pourquoi je suis en Grèce, cueill…
La trompette a sonné. Des tombes… Les pâles habitants ont tout à cou… Ils se lèvent, laissant ces demeur… Où dans l’ombre et la paix leur po… Quelques morts cependant sont rest…
Quand tu dors à qui rêves-tu, Toi, leur seule & chère espérance… À laquelle, ô cœur combattu, T’arrêtes-tu de préférence ? Est-ce à celle qui dort toujours
Aux deux rives de l’eau, paysage t… Sur la berge encaissée où leur amp… Des arbres, dont le tronc au sol r… Agitent leurs rameaux sans feuille… Des percherons trapus tirent du co…
Ce qui m’arrive est affreux : Elle est morte, je l’enterre. L’adieu fut très douloureux ; Mais je commence à me taire. J’ai, comme on jette des fleurs
D’une main engourdie il écrit ses… Dès le petit matin au soleil filtr… Sur la feuille vierge où il couche… Délie les mots mêlés sous un ciel… La plume posée sur l’ébauche d’un…