"Les châtiments (1853)" Jersey, le 1er mars 1853.
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Elle avait pris ce pli dans son âg… De venir dans ma chambre un peu ch… Je l’attendais ainsi qu’un rayon q… Elle entrait, et disait : Bonjour… Prenait ma plume, ouvrait mes livr…
Psyché dans ma chambre est entrée, Et j’ai dit à ce papillon : – « Nomme-moi la chose sacrée. « Est-ce l’ombre ? est-ce le rayon… « Est-ce la musique des lyres ?
II. J’ai vu les coeurs peu rebelles, Les grands guerriers tourtereaux, Ce qu’on appelait les belles, Ce qu’on nommait les héros.
Mes vers fuiraient, doux et frêles… Vers votre jardin si beau, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l’oiseau. Il voleraient, étincelles,
Vous eûtes donc hier un an, ma bie… Contente, vous jasez, comme, sous… Au fond du nid plus tiède ouvrant… Les oiseaux nouveau-nés gazouillen… De sentir qu’il commence à leur po…
Dans cette ville où rien ne rit et… Comme dans une femme aujourd’hui d… On sent que quelque chose, hélas !… Les maisons ont un air fâché, rogu… Les fenêtres, luisant d’un luisant…
Près du pêcheur qui ruisselle, Quand tous deux, au jour baissant, Nous errons dans la nacelle, Laissant chanter l’homme frêle Et gémir le flot puissant ;
—Oh ! comme ils sont goulus ! dit… Il faut leur donner tout, les ceri… Les pommes du verger, les gâteaux… S’ils entendent la voix des vaches… Du lait ! vite ! et leurs cris son…
VII. Une nuit,—c’est toujours la nuit d… Il s’éveilla. Luisant comme un hi… D’étranges visions emplissaient sa… Des rires éclataient sous son plaf…
Si je n’étais captive, J’aimerais ce pays, Et cette mer plaintive, Et ces champs de maïs, Et ces astres sans nombre,
Et les voilà mentant, inventant, m… Les voilà, fronts sans honte et bo… Calomniant l’honneur du pays, flét… Tous les lutteurs, ceux-ci qui ver… Ceux-ci, plus grands encor, qui, v…
Oh… Oh… Ô mes lettres d’amour, de vertu, d… C’est donc vous ! Je m’enivre enc… Je vous lis à genoux.
Ô temps miraculeux ! ô gaîtés homé… Ô rires de l’Europe et des deux A… Croûtes qui larmoyez ! bons dieux… Qui saignez dans vos coins ! madon… Phénomènes vivants ! ô choses inou…
Ce petit bonhomme bleu Qu’un souffle apporte et remporte, Qui, dès que tu dors un peu, Gratte de l’ongle à ta porte, C’est mon rêve. Plein d’effroi,
Les étoiles, points d’or, percent… Le flot huileux et lourd décompose… Sur l’océan blêmi ; Les nuages ont l’air d’oiseaux pre… Par moments le vent parle, et dit…