"Les châtiments (1853)" Jersey, le 1er mars 1853.
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Tout conjugue le verbe aimer. Voi… Je ne suis pas en train de parler… Premier mai ! l’amour gai, triste,… Fait soupirer les bois, les nids,… L’arbre où j’ai, l’autre automne,…
L’ÉGLISE est vaste et haute. À… L’ogive en fleur suspend ses trèfl… Son portail resplendit, de sa rose… Le soir fait fourmiller sous la vo… Anges, vierges, le ciel, l’enfer s…
Ainsi les plus abjects, les plus v… Vont régner ! ce n’était pas assez… Qui de leur sceptre d’or insultent… Et sont rois et méchants par la gr… Quoi ! tel gueux qui, pourvu d’un…
Mes fils, soyez contents ; l’honne… Et vous, mes deux amis, la gloire,… Couronne votre nom par l’affront d… Offrez aux juges vils, groupe abje… Toi, ta douceur intrépide,
Aux petits incidents il faut s’hab… Hier on est venu chez moi pour me… Mon tort dans ce pays c’est de cro… On ne sait quel ramas de pauvres i… S’est rué tout à coup la nuit sur…
LA RAISON Moi, je me sauve. LE DROIT Adieu ! je m’en vais. L’HONNEUR
Nain qui me railles, Gnome aperçu Dans les broussailles, Ailé, bossu ; Face moisie,
L’enfant avril est le frère De l’enfant amour ; tous deux Travaillent en sens contraire À notre coeur hasardeux. L’enfant amour nous rend traîtres,
Booz s’était couché de fatigue acc… Il avait tout le jour travaillé da… Puis avait fait son lit à sa place… Booz dormait auprès des boisseaux… Ce vieillard possédait des champs…
II. Le poète s’en va dans les champs ;… Il adore ; il écoute en lui-même u… Et le voyant venir, les fleurs, to… Celles qui des rubis font pâlir le…
Hélas ! tout est fini. Fange ! ¡… Au-dessus de ce gouffre où croula… Flamboyez, noms maudits ! Maupas, Morny, Magnan, Saint-Arn… Courbons nos fronts ! Gomorrhe a…
C’est une chose grande et que tout… D’avoir un lustre en soi qu’on rép… D’être choisi d’un peuple à venger… De ne point faire un pas qui n’ait… Ou de chanter les yeux au ciel, et…
Oui. Je comprends qu’on aille aux… Qu’on soit foule, qu’on brille aux… Qu’on fasse, amis, ce que vous fai… Et qu’on trouve cela joyeux ; Mais vivre seul sous les étoiles,
À un ami. C’est vrai, pour un instant je lai… Tous nos grands problèmes profonds… Je menais des monstres en laisse, J’errais sur le char des griffons.
Un jour je vis, debout au bord des… Passer, gonflant ses voiles, Un rapide navire enveloppé de vent… De vagues et d’étoiles ; Et j’entendis, penché sur l’abîme…