#ÉcrivainsFrançais
Si je regarde tout à coup n’a véri… subir cette parole intérieure sans… éphémères ; et cette infinité d’en… facilité, qui se transforment l’un… elles. Incohérente sans le paraîtr…
César, calme César, le pied sur t… Les poings durs dans la barbe, et… D’aigles et des combats du couchan… Ton coeur s’enfle, et se sent tout… Le lac en vain palpite et lèche so…
Que tu brilles enfin, terme pur de… Ce soir, comme d’un cerf, la fuite… Ne cesse qu’il ne tombe au milieu… Ma soif me vient abattre au bord m… Mais, pour désaltérer cette amour…
Dès l’aube, chers rayons, mon fron… À peine il se redresse, il voit d’… Sur le marbre absolu, le temps pâl… L’heure sur moi descendre et croît… *
De sa grâce redoutable Voilant à peine l’éclat, Un ange met sur ma table Le pain tendre, le lait plat ; Il me fait de la paupière
Tes pas, enfants de mon silence, Saintement, lentement placés, Vers le lit de ma vigilance Procèdent muets et glacés. Personne pure, ombre divine,
Une esclave aux longs yeux chargés… Change l’eau de mes fleurs, plonge… Au lit mystérieux prodigue ses doi… Elle met une femme au milieu de ce… Qui, dans ma rêverie errant avec d…
Humblement, tendrement, sur le tom… Sur l’insensible monument, Que d’ombres, d’abandons, et d’amo… Forme ta grâce fatiguée, Je meurs, je meurs sur toi, je tom…
Par la surprise saisie, Une bouche qui buvait Au sein de la Poésie En sépare son duvet : –Ô ma mère Intelligence,
Ô frères ! tristes lys, je languis… Pour m’ètre désiré dans votre nudi… Et vers vous, Nymphe, Nymphe, ô… Je viens au pur silence offrir mes… Un grand calme m’écoute, où j’écou…
Un fruit de chair se baigne en que… (Azur dans les jardins tremblants)… Isolant la torsade aux puissances… Luit le chef d’or que tranche à la… Éclose la beauté par la rose et l’…
De sa profonde mère, encor froide… Voici qu’au seuil battu de tempête… Amèrement vomie au soleil par la m… Se délivre des diamants de la tour… Son sourire se forme, et suit sur…
Quand le ciel couleur d’une joue Laisse enfin les yeux le chérir Et qu’au point doré de périr Dans les roses le temps se joue, Devant le muet de plaisir
Si la plage planche, si L’ombre sur l’oeil s’use et pleure Si l’azur est larme, ainsi Au sel des dents pure affleure La vierge fumée ou l’air
Un soir favorisé de colombes subli… La pucelle doucement se peigne au… Aux nénuphars de l’onde elle donne… Ultime, et pour tiédir ses froides… Parfois trempe au couchant leurs r…