Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Je ne t’aime pas en toilette Et je déteste la voilette Qui t’obscurcit tes yeux, mes cieu… Et j’abomine la « tournure » Parodie et caricature,
La cathédrale est majestueuse Que j’imagine en pleine campagne Sur quelque affluent de quelque M… Non loin de l’Océan qu’il regagne… L’Océan pas vu que je devine
Comme un vol criard d’oiseaux en é… Tous mes souvenirs s’abattent sur… S’abattent parmi le feuillage jaun… De mon cœur mirant son tronc plié… Au tain violet de l’eau des Regre…
Mois de Jésus, mois rouge et or,… Juin, pendant quel le cœur en fleu… Se sont épanouis dans la splendeur… Parmi des chants et des parfums d’… Mois du Saint-Sacrement et mois d…
Le Souvenir avec le Crépuscule Rougeoie et tremble à l’ardent hor… De l’Espérance en flamme qui recu… Et s’agrandit ainsi qu’une cloison Mystérieuse où mainte floraison
La mer est plus belle Que les cathédrales, Nourrice fidèle, Berceuse de râles, La mer sur qui prie
Vous n’avez rien compris à ma simp… Rien, ô ma pauvre enfant ! Et c’est avec un front éventé, dép… Que vous fuyez devant. Vos yeux qui ne devaient refléter…
Mystiques barcarolles, Romances sans paroles, Chère, puisque tes yeux, Couleur des cieux, Puisque ta voix, étrange
Chemise de femme, armure ad hoc Pour les chers combats et le gai c… Avec, si frais et que blancs et gr… Sortant tout nus, joyeux, les deux… Vêtement suprême,
Soyez béni, Seigneur, qui m’avez… Dans ces temps de féroce ignorance… Mais donnez-moi la force et l’auda… De vous être à toujours fidèle com… De vous être l’agneau destiné qui…
Le foyer, la lueur étroite de la l… La rêverie avec le doigt contre la… Et les yeux se perdant parmi les y… L’heure du thé fumant et des livre… La douceur de sentir la fin de la…
J’ai rêvé d’elle, et nous nous par… Non pas nos torts, il n’en est en… Mais l’absolu de nos opinions Et que la vie ait pour nous pris c… Simple elle était comme au temps d…
Une aube affaiblie Verse par les champs La mélancolie Des soleils couchants. La mélancolie
La saison qui s’avance Nous baille la défense D’user des us d’été, Le frisson de l’automne Déjà nous pelotonne
Je vois un groupe sur la mer. Quelle mer ? Celle de mes larmes. Mes yeux mouillés du vent amer Dans cette nuit d’ombre et d’alarm… Sont deux étoiles sur la mer.