#ÉcrivainsFrançais
Les cavaliers se tiennent sur la route et de profil. On ne sait plus quel est leur nombre. Contre la nuit qui ferme le chemin, entre la rivière et le pont une source qui pleure—un arbre...
Dans mon rêve la tête d’un enfant… Si les nuages s’accumulent sur ton… Mais aucune voix ne t’appelle. Si… L’édredon gardait le silence ; les…
L’horizon s’incline Les jours sont plus longs Voyage Un cœur saute dans une cage Un oiseau chante
Pas une tête ne dépasse Un doigt se lève Puis c’est la voix que l’on connaî… Un signal une note brève
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
Il a chassé la lune, il a laissé l… Derrière les trembles un étrange p… Rien ne se prend, mais il emplit s… Mais un autre attendait plus loin…
Il faudrait passer là devant Paroles que le vent emporte Combien nous faudra-t-il de temps Encore une minute et je suis là Je reste seul contre la porte
Plus je crie plus le vent est fort La porte se ferme Emporte la fourrure et les plumes Et le papier qui vole Je cours sur la route après les fe…
Au pied de l’arbre, ce n’était qu’un ivrogne qui remuait au gré du vent. Son portrait est dans toutes les glaces, son esprit au fond de tous les verres. Est-ce une chose qui reste ? Il ...
Avant de partir pour la cérémonie… Avant d’engloutir cet espace prése… Au dessus des vagues tordues sous… Saluons le soleil Les murs sont au courant
Dans le chemin La tête creuse Quand le matin réveille le dormeur L’arbre rempli de mots qui s’envol… de fruits mûrs ou d’oiseaux
II criait dans la ruelle à l’abri Je suis le mari de cette femme déb… Qui vous montrera son cœur et son… Regardez L’heure du départ avait depuis lon…
Au bord du toit Un nuage danse Trois gouttes d’eau pendent à la gouttière Trois étoiles
Il fait si chaud que l’air vibre et que tout bruit devient assourdissant. Des meutes de chiens féroces aboient. Par les fenêtres ouvertes, les cris des femmes rivalisent avec cette fanf...
Le mélange des voix des êtres sous… les frissons des arbres l’étreinte des revirements de fumé… le recul des mains le cœur assassi… Tout l’or et le sang les poitrines…