Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Le soleil du matin doucement chauf… Les seigles et les blés tout humid… Et l’azur a gardé sa fraîcheur de… L’on sort sans autre but que de so… Le long de la rivière aux vagues h…
Parfois je sens, mourant des temps… Mon immense douleur s’enivrer d’es… En vain l’heure honteuse ouvre des… En vain bâillent sous nous les dés… Pour engloutir l’abus de notre âpr…
Les plus belles voix De la Confrérie Célèbrent le mois Heureux de Marie. Ô les douces voix !
L’ennui de vivre avec les gens et… Font souvent ma parole et mon rega… Mais d’avoir conscience et souci d… Exhausse ma tristesse, ennoblit mo… Alors mon discours chante et mes y…
Parisien, mon frère à jamais étonn… Montons sur la colline où le solei… Si glorieux qu’il fait comprendre… Sous cette perspective inconnue au… D’arbres au vent et de poussière d…
Me voici devant Vous, contrit com… Je sais tout le malheur d’avoir pe… Et je n’ai plus d’espoir, et je n’… Qu’en une en qui je crois chasteme… A mes yeux mieux que tout, et l’es…
La tristesse, langueur du corps hu… M’attendrissent, me fléchissent, m… Ah ! surtout quand des sommeils no… Quand les draps zèbrent la peau, f… Et que mièvre dans la fièvre du de…
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Le Souvenir avec le Crépuscule Rougeoie et tremble à l’ardent hor… De l’Espérance en flamme qui recu… Et s’agrandit ainsi qu’une cloison Mystérieuse où mainte floraison
C’est plutôt le sabbat du second… Un rhythmique sabbat, rhythmique,… Rhythmique.—Imaginez un jardin de… Correct, ridicule et charmant. Des ronds-points ; au milieu, des…
Brune encore non eue, Je te veux presque nue Sur un canapé noir Dans un jaune boudoir, Comme en mil huit cent trente.
Mon fils est mort. J’adore, ô mon… Je vous offre les pleurs d’un cœur… Vous châtiez bien fort et parferez… Qu’alanguissait l’amour pour une c… Vous châtiez bien fort. Mon fils…
Cuisses grosses mais fuselées. Tendres et fermes par dessous, Dessus d’un dur qui serait doux, Musculeuses et potelées, Cuisses si bonnes tant baisées
Deux femmes des mieux m’ont apparu… Mon rêve était au bal, je vous dem… L’une d’entre elles maigre assez,… Un noir et ce regard mécréant qui… L’autre, brune au regard sournois…
Dieu, nous voulant amis parfaits,… Gais de cette gaîté qui rit pour e… De ce rire absolu, colossal et sup… Qui s’esclaffe de tous et ne bless… Tous deux nous ignorons l’égoïsme…