Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Les morts que l’on fait saigner da… Se vengent toujours. Ils ont leur manière, et plaignez… Sous leurs grands coups sourds. Mieux vaut n’avoir jamais connu la…
« Quand je cause avec toi paisible… Ce m’est vraiment charmant, tu cau… Quand je dispute et te fais des re… Tu disputes, c’est drôle, et me fa… S’il m’arrive, hélas ! d’un peu te…
L’horrible nuit d’insomnie ! —Sans la présence bénie De ton cher corps près de moi, Sans ta bouche tant baisée Encore que trop rusée
Immédiatement après le salut sompt… Le luminaire éteint moins les seul… Les psaumes pour les morts sont di… Par les clercs et le peuple saisi… Un glas lent se répand des clocher…
L’indulgence qui n’est pas de l’in… Et qui n’est pas non plus de la fa… De la paresse, pour un devoir défi… Monitoire au plaisir, bénin à la s… Non plus le scepticisme et ni préj…
La lune est rouge au brumeux horiz… Dans un brouillard qui danse, la p… S’endort fumeuse, et la grenouille… Par les joncs verts où circule un… Les fleurs des eaux referment leur…
Je suis l’Empire à la fin de la d… Qui regarde passer les grands Bar… En composant des acrostiches indol… D’un style d’or où la langueur du… L’âme seulette a mal au coeur d’un…
Ces passions qu’eux seuls nomment… Sont des amours aussi, tendres et… Avec des particularités curieuses Que n’ont pas les amours certes de… Même plus qu’elles et mieux qu’ell…
Les petits ifs du cimetière Frémissent au vent hiémal, Dans la glaciale lumière. Avec des bruits sourds qui font ma… Les croix de bois des tombes neuve…
Ce soir je m’étais penché sur ton… Tout ton corps dormait chaste sur… Et j’ai vu, comme un qui s’appliqu… Ah ! j’ai vu que tout est vain sou… Qu’on vive, ô quelle délicate merv…
A vous ces vers de par la grâce co… De vos grands yeux où rit et pleur… De par votre âme pure et toute bon… Ces vers du fond de ma détresse vi… C’est qu’hélas ! le hideux cauchem…
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
Elle jouait avec sa chatte, Et c’était merveille de voir La main blanche et la blanche patt… S’ébattre dans l’ombre du soir. Elle cachait – la scélérate ! –
Sois de bronze et de marbre et sur… Certes, prise l’orgueil nécessaire… Pour ton combat avec les contingen… Que les poils de ta barbe ou le sa… Mais vis, vis pour souffrir, souff…
Chair! ô seul fruit mordu des verg… Fruit amer et sucré qui jutes aux… Des affamés du seul amour, bouches… Et bon dessert des forts, et leurs… Amour! le seul émoi de ceux que n’…