Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Mon cher enfant que j’ai vu dans m… Mon cher enfant, que, mon Dieu, t… Moi-même pauvre ainsi que toi, pur… Mon cher enfant que j’ai vu dans m… Et beau comme notre âme pure et tr…
Le coucher d’un soleil de septembr… La plaine morne et l’âpre arête de… Et de la brume au loin l’installat… Le Guadarrama pousse entre les sa… Son flot hâtif qui va réfléchissan…
L’espoir luit comme un brin de pai… Que crains-tu de la guêpe ivre de… Vois, le soleil toujours poudroie… Que ne t’endormais-tu, le coude su… Pauvre âme pâle, au moins cette ea…
Tes yeux, tes cheveux indécis, L’arc mal précis de tes sourcils, La fleur pâlotte de ta bouche, Ton corps vague et pourtant dodu, Te donnent un air peu farouche
Bien qu’elle soit ta meilleure ami… C’est farce ce que nous la trompon… Jusques à l’excès, sans penser mie À elle, tant nos instants sont bon… Nos instants sont bons !
Un vieux faune de terre cuite Rit au centre des boulingrins, Présageant sans doute une suite Mauvaise à ces instants sereins Qui m’ont conduit et t’ont conduit…
Rustique beauté Qu’on a dans les coins, Tu sens bon les foins, La chair et l’été. Tes trente-deux dents
Voici des fruits, des fleurs, des… Et puis voici mon coeur qui ne bat… Ne le déchirez pas avec vos deux m… Et qu’à vos yeux si beaux l’humble… J’arrive tout couvert encore de ro…
Va, chanson, à tire-d’aile Au-devant d’elle, et dis-lui Bien que dans mon cœur fidèle Un rayon joyeux a lui, Dissipant, lumière sainte,
Ô triste, triste était mon âme À cause, à cause d’une femme. Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s’en soit allé. Bien que mon cœur, bien que mon âm…
Chez mes pays, qui sont rustiques Dans tel cas simplement pieux, Voire un peu superstitieux, Entre autres pratiques antiques, Sur la tête du paysan,
Deux femmes des mieux m’ont apparu… Mon rêve était au bal, je vous dem… L’une d’entre elles maigre assez,… Un noir et ce regard mécréant qui… L’autre, brune au regard sournois…
Le bruit de ton aiguille et celui… Sont le silence d’or dont on parla… Ah ! cessons de nous plaindre, ins… Et travaillons tranquillement au n… Quant à souffrir, quant à mourir,…
Ah ! vraiment c’est triste, ah ! v… Il n’est pas permis d’être à ce po… Ah ! vraiment c’est trop la mort d… Qui voit tout son sang couler sous… Londres fume et crie. O quelle vi…
Hélas ! je n’étais pas fait pour c… Et pour ce mépris plus forts que m… Mais pourquoi m’avoir fait cet agn… Et pourquoi m’avoir fait ce coeur… J’étais né pour plaire à toute âme…