"Mourir de ne pas mourir"
#ÉcrivainsFrançais
Un oiseau s’envole, II rejette les nues comme un voil… II n’a jamais craint la lumière, Enfermé dans son vol, II n’a jamais eu d’ombre.
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières
Au soir de la folie, nu et clair, L’espace entre les choses a la for… La forme des paroles d’un inconnu, D’un vagabond qui dénoue la ceintu… Et qui prend les échos au lasso.
Le soir traînait des hirondelles.… Partageaient le soleil et pesaient… Comme les pas jamais lassés d’un s… Plus pâle que nature et dormant to… Le soir trainait des armes blanche…
L’oreille du taureau à la fenêtre Et la lumière d’aujourd’hui le pri… Sur la paille du vaincu sur l’or d… Sur la table au niveau du vin dans… L’œil qui saisit la bouche et l’em…
Et la liane verte et bleue qui joi… Le vent à la grande figure Les épargne. Avalanche, à travers… La lumière, nuée d’insectes, vibre… Miracle dévêtu, émiettement, ruptu…
La valse est jolie, Les grands élans du cœur le sont a… Rues, Une roue valsait éperdument. Des roues, des robes, des chapeaux…
Les armes du sommeil ont creusé da… Les sillons merveilleux qui sépare… À travers le diamant, toute médail… Sous le ciel éclatant, la terre es… Le visage du cœur a perdu ses coul…
Adieu ! Vaches plus précieuses Que mille bouteilles de lait, Précieuses aux jeunes qui se marie… Et dont la femme est jolie,
C’est la guerre ! Rien n’est plus… Je suis très sale (chez nous on ne… La ville est toujours ardente. Au… Et nous, nous demandons déjà à ceu…
Vivant dans un village calme D’où la route part longue et dure Pour un lieu de sang et de larmes Nous sommes purs. Les nuits sont chaudes et tranquil…
Dressé par la famine L’enfant répond toujours je mange Viens-tu je mange Dors-tu je mange.
La petite chérie arrive à Paris. Paris fait du bruit. Paris fait d… La petite chérie traverse la rue. La bruit tombe en pluie. La bruit… La petite chérie est sur le trotto…
J’ai regardé devant moi Dans la foule je t’ai vue Parmi les blés je t’ai vue Sous un arbre je t’ai vue Au bout de tous mes voyages
Le petit est malade, le petit va mourir. Lui qui nous a donné la vue, qui a enfermé les obscurités dans les forêts de sapins, qui séchait les rues après l’orage. Il avait, il avait un e...