"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
La rue est bientôt là, À la rue le cheval. Plus beau que le corbeau Il lui faut un chemin. Fine jambe, léger héros
Cheval seul, cheval perdu, Malade de la pluie, vibrant d’inse… Cheval seul, vieux cheval. Aux fêtes du galop, Son élan serait vers la terre,
Ombre de neige, Cœur blanc, sang pauvre, cœur d’en… Le jour. Il y a toujours le jour du soleil… Le ciel, bras ouverts, bon accueil
Le jour m’étonne et la nuit me fai… L’été me hante et l’hiver me pours… Un animal sur la neige a posé Ses pattes sur le sable ou dans la… Ses pattes venues de plus loin que…
Amour des fantaisies permises, Du soleil, Des citrons, Du mimosa léger. Clarté des moyens employés :
Elle avait dans la tranquillité de… Une petite boule de neige couleur… Elle avait sur les épaules Une tache de silence une tache de… Couvercle de son auréole
Nous deux nous tenant par la main Nous nous croyons partout chez nou… Sous l’arbre doux sous le ciel noi… Sous tous les toits au coin du feu Dan la rue vide en plein soleil
Faites mon portait. Il se modifiera pour remplir tous… Faites mon portrait sans bruit, se… À moins que—s’il—sauf—excepté— Je ne vous entends pas.
Chien chaud, Tout entier dans la voix, dans les… De ton maître, Prends la vie comme le vent, Avec ton nez.
Des vers d’amour, j’en ai rarement… Je ne sais pas murmurer : « Je t’… En rythmes doux, qu’inspiré, l’on… Des mots subtils, par lesquels est… Le très cher lien, qui toujours, v…
Si je vous dis : « j’ai tout aband… C’est qu’elle n’est pas celle de m… Je ne m’en suis jamais vanté, Ce n’est pas vrai Et la brume de fond où je me meus
Par un froid de papier, les écoliers du vide rougissent à travers les vitres. Un grand rideau sur la façade se gonfle de petits monstres. L’ébéniste est représenté jusqu’aux genoux. Enf...
Le front aux vitres comme font les… Ciel dont j’ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes ma… Dans leur double horizon inerte in… Le front aux vitres comme font les…
Un miracle de sable fin Transperce les feuilles les fleurs Éclôt dans les fruits Et comble les ombres Tout est enfin divisé
Que voulez-vous la porte était gar… Que voulez-vous nous étions enferm… Que voulez-vous la rue était barré… Que voulez-vous la ville était mat… Que voulez-vous elle était affamée