"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Dressé par la famine L’enfant répond toujours je mange Viens-tu je mange Dors-tu je mange.
L’alarme matérielle où, sans excus… C’est bien : presque insensible.… Aucun étonnement, une femme ou un… Leurs yeux se sont levés plus tôt… *
La rivière que j’ai sous la langue… L’eau qu’on imagine pas, mon petit… Et, les rideaux baissés, parlons.
Un aigle, sur un rocher, contemple l’horizon béat. Un aigle défend le mouvement des sphères. Couleurs douces de la charité, tristesse, lueurs sur les arbres décharnés, lyre en étoile d’...
Le rire tenait sa bouteille À la bouche riait la mort Dans tous les lites où l’on dort Le ciel sous tous les corps sommei… Un clair ruban vert à l’oreille
Les lumières en l’air, L’air sur un tour moitié passé, mo… Faites entrer les enfants, Tous les saluts, tous les baisers,… Autour de la bouche
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
Larmes des yeux, les malheurs des… Malheurs sans intérêt et larmes sa… Il ne demande rien, il n’est pas i… Il est triste en prison et triste… Il fait un triste temps, il fait u…
Chien chaud, Tout entier dans la voix, dans les… De ton maître, Prends la vie comme le vent, Avec ton nez.
Ton rire est comme un tourbillon d… Froissant l’air chaud, l’enveloppa… Amer, tu annules toute tragédie, Et ton souci d’être un homme, ton… Je voudrais t’enfermer avec ta vie…
Après des années de sagesse Pendant lesquelles le monde était… Roucouler s’agit-il d’autre chose… Après avoir rivalisé rendu grâces… Plus d’une lèvre rouge avec un poi…
Un mur dénonce un autre mur Et l’ombre me défend de mon ombre… Ô tour de mon amour autour de mon… Tous les murs filaient blanc autou… Toi, que défendais-tu ? Ciel inse…
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
A fait fondre la neige pure, A fait naître des fleurs dans l’he… Et le soleil est délivré. Ô fille des saisons variées, Tes pieds m’attachent à la terre
Je porte un panier de mauvais réve… Oubli du repos fenêtre sévère La forme du corps la forme sans fa… Et les mains bornées les folles dé… Je porte des mains à cueillir Déc…