"Mourir de ne pas mourir"
#ÉcrivainsFrançais
L’instrument Comme tu le vois Espérons Et Espérons
Gagnerons-nous la mer avec des clo… Dans nos poches, avec le bruit de… Dans la mer, ou bien serons-nous l… D’une eau plus pure et silencieuse… L’eau se frottant les mains aiguis…
La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs,
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
La droite laisse couler du sable. Toutes les transformations sont po… Loin, le soleil aiguise sur les pi… La description du paysage importe… Tout juste l’agréable durée des mo…
Courir et courir délivrance Et tout trouver tout ramasser Délivrance et richesse Courir si vite que le fil casse Au bruit que fait un grand oiseau
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là
Dans quelques secondes Le peintre et son modèle Prendront la fuite. Plus de vertus Ou moins de malheurs
Si vous désirez la lourde chair, Arrachez les bras, les mains et le… Déchirez les branches Qui contenaient le ciel, l’espace. Et vous tombez, c’est votre poids.
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
La petite personne noire a froid. À peine si trois lumières bougent encore, à peine si les planètes, malgré leur voilure complète, avancent en flottant : depuis trois heures il n’y a pl...
Pendant qu’il est facile Et pendant qu’elle est gaie Allons nous habiller et nous désha…
La nuit le froid la solitude On m’enferma soigneusement Mais les branches cherchaient leur… Autour de moi l’herbe trouva le ci… On verrouilla le ciel
“ Le Phénix ” Toutes les choses au hasard Tous les mots dits sans y penser Et qui sont pris comme ils sont di… Et nul n’y perd et nul n’y gagne
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance