Les Hommes et leurs animaux
"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
Il va sous un soleil de foin Et son regard est un chemin Où marche un âne
L’heure qui tremble au front du te… Un bel oiseau léger plus vif qu’un… Traîne sur un miroir un cadavre sa… Des boules de soleil adoucissent s… Et le vent de son vol affole la lu…
L’araignée rapide, Pieds et mains de la peur, Est arrivée. L’araignée, Heureuse de son poids,
À quoi penses-tu ? Je pense au premier baiser que je… Baisers semblables aux paroles du… Vous êtes au service des forces in… III
Les filets des arbres ont pris bea… Natures, Les pattes des oiseaux ont pris le… À leurs os.
Dans l’amour la vie a encore L’eau pure de ses yeux d’enfant Sa bouche est encore une fleur Qui s’ouvre sans savoir comment Dans l’amour la vie a encore
Un mur dénonce un autre mur Et l’ombre me défend de mon ombre… Ô tour de mon amour autour de mon… Tous les murs filaient blanc autou… Toi, que défendais-tu ? Ciel inse…
Dormir, la lune dans un œil et le… Un amour dans la bouche, un bel oi… Parée comme les champs, les bois,… Belle et parée comme le tour du mo… Puis à travers le paysage,
Bois meurtri bois perdu d’un voyag… Navire où la neige prend pied Bois d’asile bois mort où sans esp… De la mer aux miroirs crevés Un grand moment d’eau froide a sai…
Les jeux de ces curieux enfants qu… Jeux simples qui leur font les yeu… Pleins d’une fièvre qui les rappro… Du monde où nous rêvons de faire p… Les jeux d’azur et de nuages
Il pose un oiseau sur la table et… * Elle dit l’avenir. Et je suis cha… * Le cœur meurtri, l’âme endolorie,…
Le sommeil a pris ton empreinte Et la colore de tes yeux
Ce qui se dit : J’ai traversé la rue pour ne plus être au soleil. Il fait trop chaud, même à l’ombre. Il y a la rue, quatre étages et ma fenêtre au soleil. Une casquette sur la tête, un...
Si je te parle c’est pour mieux t’… Si je t’entends je suis sûr de com… Si tu souris c’est pour mieux m’en… Si tu souris je vois le monde enti… Si je t’étreins c’est pour me cont…
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là