"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Des ailes, des ailes, des ailes Comme dans le chant de Ruckert. Théophile Gautier. Devant mourir, les roses sont plus… Et les oiseaux ont des chants bien…
Les filets des arbres ont pris bea… Natures, Les pattes des oiseaux ont pris le… À leurs os.
Une mouche sur sa main. Le soleil, pour l’empêcher de s’envoler, plante des aiguilles autour d’elle. Le soleil attire les hirondelles atteintes de ces affreuses maladies de peau qui déf...
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil
Qui a votre visage ? La bonne et la mauvaise La belle imaginable Gymnastique à l’infini Dépassant en mouvements
Les représentants tout-puissants d… Des yeux graves nouveaux-nés Pour supprimer la lumière L’arc de tes seins tendu par un av… Qui se souvient de tes mains
La pierre rebondit sur l’eau, La fumée n’y pénètre pas. L’eau, telle une peau Que nul ne peut blesser Est caressée
Je t’aime pour toutes les femmes q… Je t’aime pour tous les temps où j… Pour l’odeur du grand large et l’o… Pour la neige qui fond pour les pr… Pour les animaux purs que l’homme…
Habitude de marcher, Habitude de courir, Terre couverte et découverte, Plus petite qu’un empire, Bien étendue,
Charmée... Oh ! Pauvre fille ! Les oiseaux mettent en désordre Le soleil aveuglant du toit, Les oiseaux jouent à remplacer Le soleil plus léger que l’huile
Aveugle maladroit, ignorant et lég… Aujourd’hui pour oublier, Le mois prochain pour dessiner Les coins de rue, les allées à per… Je les imite pour m’étendre
Rouge amoureuse Pour prendre part à ton plaisir Je me colore de douleur. J’ai vécu tu fermes les yeux Tu t’enfermes en moi
J’ai regardé devant moi Dans la foule je t’ai vue Parmi les blés je t’ai vue Sous un arbre je t’ai vue Au bout de tous mes voyages
Si triste de ses faux calculs Qu’il inscrit ses nombres à l’enve… Et s’endort. Une femme plus belle Et n’a jamais trouvé,
“ Le Phénix ” Toutes les choses au hasard Tous les mots dits sans y penser Et qui sont pris comme ils sont di… Et nul n’y perd et nul n’y gagne