"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
J’ai regardé devant moi Dans la foule je t’ai vue Parmi les blés je t’ai vue Sous un arbre je t’ai vue Au bout de tous mes voyages
J’ai la beauté facile et c’est heu… Je glisse sur les toits des vents Je glisse sur le toit des mers Je suis devenue sentimentale Je ne connais plus le conducteur
Les armes du sommeil ont creusé da… Les sillons merveilleux qui sépare… À travers le diamant, toute médail… Sous le ciel éclatant, la terre es… Le visage du cœur a perdu ses coul…
Le front aux vitres comme font les… Ciel dont j’ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes ma… Dans leur double horizon inerte in… Le front aux vitres comme font les…
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
Je me suis séparé de toi Mais l’amour me précédait encore Et quand j’ai tendu les bras La douleur est venue s’y faire plu… Tout le désert à boire
Elle ne sait pas tendre des pièges Elle a les yeux sur sa beauté Si simple si simple séduire Et ce sont ses yeux qui l’enchaîne… Et c’est sur moi qu’elle s’appuie
Je me lève, je suis jeune. Quand je me couche, le soir je suis vieux, je vais mourir dans la nuit. On m’enterrera demain. Et pourtant, le matin je suis jeune. Mes vêtements plus légers,...
L’habituelle Joue bonjour comme on joue l’aveug… L’amour alors même qu’on y pense à… Elle est sur le rivage et dans tou… Toujours
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
Je t’aime pour toutes les femmes q… Je t’aime pour tous les temps où j… Pour l’odeur du grand large et l’o… Pour la neige qui fond pour les pr… Pour les animaux purs que l’homme…
Ce qui se dit : J’ai traversé la rue pour ne plus être au soleil. Il fait trop chaud, même à l’ombre. Il y a la rue, quatre étages et ma fenêtre au soleil. Une casquette sur la tête, un...
L’alarme matérielle où, sans excus… C’est bien : presque insensible.… Aucun étonnement, une femme ou un… Leurs yeux se sont levés plus tôt… *
Suis-je autre chose que ta force ? Ta force dans tes bras, Ta tête dans tes bras, Ta force dans le ciel décomposé, Ta tête lamentable,