#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
L’amour est une science Et de toi j’ai tout appris Et j’écoute ton silence Que je n’avais pas compris. T’ai-je mal aimé cher ange !
Mademoiselle Marie Vous êtes grosse, dit l’ange, Vous aurez un fils sans mari ; Pardonnez si je vous dérange. Cette façon d’annoncer
Que la vie est ennuyeuse à cinq heures et demie de ce petit matin en berne Les dianes contagieuses se propagent dans les casernes
Tu écartes dans tous les sens tes… Soleil du soir, cerisier en fleurs… Voici de mars en nous que déferlen… Embruns d’amour inconnus sur les d… Ici ne furent semés qu’hommes bleu…
Tes mains jonchant les draps étaie… Mon automne aimait ton été. Le vent du souvenir faisait claque… Des lieux où nous avons été. Je te laissais mentir ton sommeil…
Notre entrelacs d’amour à des lett… Sur un arbre se mélangeant ; Et, sur ce lit, nos corps s’entort… Comme à ton nom le nom de Jean. Croiriez-vous point, ô mer, reconn…
Je dis : tu n’auras qu’un poème Et voilà que j’en glisse deux L’un pour te répéter : « Je t’aim… L’autre : « Je suis ton amoureux…
La minute m’a dit : « Presse-moi… Tu ne sais aujourd’hui si tu seras… Ainsi prends tout le suc qui m’enf… Ne tourne pas la tête et ne passe… Vis-moi !...dans un instant, je se…
Il est des cris plaintifs qui se t… Mordus entre les dents, avortés su… Des fards astucieux masquant l’ard… Et des corps moribonds sous la fra… La douleur nous fait honte en nous…
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
Bouche grave des lions Sourire sinueux des jeunes crocodi… Au fil d’eau du fleuve charriant des millions Iles d’épices
Mauvaise compagne, espèce de morte… De quels corridors, De quels corridors pousses-tu la p… Dès que tu t’endors ? Je te vois quitter ta figure close…
Je n’aime pas dormir quand ta figu… La nuit, contre mon cou ; Car je pense à la mort laquelle vi… Nous endormir beaucoup. Je mourrai, tu vivras et c’est ce…
Horizontalement tombe Le marcheur qui ne s’en doute Droite est la mauvaise route De la naissance à la tombe. Il n’est d’aube ni de soir
Ne réveillez pas Dieu, il dort Profondément, c’est moi son rêve..… Le réveiller serait ma mort.