#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Un voile clair, un voile épais Recouvre notre destinée Mais l’étoile qui nous est née Demeure une étoile de paix. Peuvent-ils nous mentir, les astre…
Tes mains jonchant les draps étaie… Mon automne aimait ton été. Le vent du souvenir faisait claque… Des lieux où nous avons été. Je te laissais mentir ton sommeil…
Soyons courageux, soyons fous, Jamais aucune économie Jamais se demander jusqu’où, La sagesse est une momie.
Hélas ! vais-je à présent me plain… Et voir, près de Charon, La mort, indifférente à telles cir… Qui la décideront. Elle vit. Elle attend. Ce n’est p…
Ne réveillez pas Dieu, il dort Profondément, c’est moi son rêve..… Le réveiller serait ma mort.
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
Il est des cris plaintifs qui se t… Mordus entre les dents, avortés su… Des fards astucieux masquant l’ard… Et des corps moribonds sous la fra… La douleur nous fait honte en nous…
Horizontalement tombe Le marcheur qui ne s’en doute Droite est la mauvaise route De la naissance à la tombe. Il n’est d’aube ni de soir
Ne vous balancez pas si fort Le ciel est à tout le monde Marin d’eau douce la nuit profonde Se moque de vos ancres d’or Et boit debout en silence
Je me dis que je dois me taire Qu’il ne faut pas d’amour t’accabl… Hélas, empêche-t-on de sortir de l… Les marbres grecs et les blés ?
Vieux monde où j’ai vécu tu pars t… Tu disparais hélas Mais je ferme les yeux et retrouve… Peintes sur nos atlas. Un nouveau monde arrive et votera…
Le bruit de l’aéro se fane à la de… La voix du ciel nouveau, toupie O Orion module Dans le matin chargé d’émotion de… Ma cour sonore
Bouche grave des lions Sourire sinueux des jeunes crocodi… Au fil d’eau du fleuve charriant des millions Iles d’épices
Ne m’interrogez plus. Interrogez… Dont je suis le valet ; Mais ne les croyez point ni belles… À qui leur semble laid. Toujours toutes en train de fondre…
Je n’aime pas dormir quand ta figu… La nuit, contre mon cou ; Car je pense à la mort laquelle vi… Nous endormir beaucoup. Je mourrai, tu vivras et c’est ce…