#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Un voile clair, un voile épais Recouvre notre destinée Mais l’étoile qui nous est née Demeure une étoile de paix. Peuvent-ils nous mentir, les astre…
C’est permis de fumer. Gare L’Écuyère de Médrano quand tu fumes ton cigare Saute à travers les anneaux.
Horizontalement tombe Le marcheur qui ne s’en doute Droite est la mauvaise route De la naissance à la tombe. Il n’est d’aube ni de soir
Anna vous m’aimez bien et je vous… Que de choses nous éloignent en ap… Mais si les jeunes gens savaient q… Pour dépolir entre nous la transpa… On vous a tout ôté ; à moi aussi,
Tes mains jonchant les draps étaie… Mon automne aimait ton été. Le vent du souvenir faisait claque… Des lieux où nous avons été. Je te laissais mentir ton sommeil…
Il était une fois un roi qui, d’un… Faisait couler, bondir et voltiger… C’est à peine s’il connaissait que… Il était doux, naïf, et ne savait… Et sous ses doigts vibraient d’har…
Soyons courageux, soyons fous, Jamais aucune économie Jamais se demander jusqu’où, La sagesse est une momie.
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
Le bruit de l’aéro se fane à la de… La voix du ciel nouveau, toupie O Orion module Dans le matin chargé d’émotion de… Ma cour sonore
Hélas ! vais-je à présent me plain… Et voir, près de Charon, La mort, indifférente à telles cir… Qui la décideront. Elle vit. Elle attend. Ce n’est p…
Avec en lui déjà l’affreux désir q… Pour avoir découvert la tendre ago… Cachant ses traits fanés sous le m… Sous le mensonge exquis de sa rian… Pour avoir respiré, sur ses canaux…
Tu ne laisserais pas faire le moin… Aux animaux que tu rencontres dans… Mais tu peux torturer comme un pau… Celle par qui la chance un jour t’… Tes griefs sont si longs si courts…
Notre entrelacs d’amour à des lett… Sur un arbre se mélangeant ; Et, sur ce lit, nos corps s’entort… Comme à ton nom le nom de Jean. Croiriez-vous point, ô mer, reconn…
Mauvaise compagne, espèce de morte… De quels corridors, De quels corridors pousses-tu la p… Dès que tu t’endors ? Je te vois quitter ta figure close…