Les jeunes croyances (1867)
#ÉcrivainsFrançais
Il était sans amour ; il souffrait… Il avait travaillé longtemps. C’é… Son front, sombre, penchait, jamai… Ne l’ayant éclairé d’un rayon d’am… Tous, rapides, voyant cet air morn…
Lorsque j’étais enfant surtout, j’… Où sur leurs pieux rugueux on étal… De la bastide, afin d’y veiller sa… La claie aux roseaux drus où doit… Les pieux sont reliés de traverses…
Je regrette les vieux vaisseaux do… Large et lourde, pendait du faîte… Et leurs pesants rouleaux de toile… Faisait fléchir l’antenne à l’imme… La marche du meilleur navire était…
La frégate retourne au port, voile… Et, pour mieux voir la côte aux fa… Je monte dans la hune où me suit u… La vergue tremble ; il court sur c… « J’y suis habitué, dit-il, mais p…
Ils sont deux. Un enfant, tout ra… Et marche à pas comptés, fier de p… Un bâton que couronne un cercle ho… Où l’on a suspendu des choses en m… Montre et couvert, et puis des éch…
Nous qui croyons souffrir, songeon… De ceux qui vivent seuls, sans mêm… Et qui mourront tout seuls ; Regardons les méchants et ceux de… N’a d’autre but que d’être à jamai…
Vignes du Languedoc, oliviers des… Toi qui dresses si haut ton front… Alpes du Dauphiné, forêts, monts… Dans la plaine à vos pieds que reg… Les pics et les coteaux, les vigne…
Écoute ! si je meurs, je veux mour… Je veux mourir couché dans ma séré… Calme et fier, le regard brillant… Un travailleur qui cherche un peu… Je parlerai tout haut, proclamant…
La lumière, ce fleuve insondable q… Le soleil, vaste source, aux monde… Prodigue largement la Vie à l’uni… Et dans le cœur de tous fait ruiss… Quel bonheur d’admirer l’air libre…
Les temps sont accomplis. L’aube… À l’horizon lointain, les paisible… Et la terrible nuit qui nous oppre… Doit insensiblement disparaître à… La Science a creusé les plus prof…
J’ai, toute cette nuit, ferme et t… Écrit, rêvé,... c’est bien, et je… Je suis content de moi ! La nuit… C’est l’aurore ; mes yeux voient m… Puissé-je ainsi, penché sur l’exis…
Vraie image du vrai poète, Tous les soirs, mon petit grillon, Tu nous chantais ta chansonnette Parmi les fleurs de ce balcon. Tu voulais, pour parler, cette heu…
Tout est fini : la nuit surgit, le… Le toit s’est écroulé sur l’hôte c… Et près du moribond immobile et qu… On passe, le regard distrait ou so… Ainsi ceux qui l’ont vu jadis en s…
Lorsque mai va finir, quand juin b… Il faut voir les troupeaux de la b… Redoutant la saison où sèchent les… Où la plaine déserte apparaîtra sa… Et jaune de soleil et d’herbes des…
Puisque la vérité sublime Vous embrase d’un saint désir Et vous pousse à combler l’abîme Que notre siècle doit franchir ; Puisque le beau nom de justice