Charles Guérin

Qui pleure à ma porte à la fin du jour ?

Qui pleure à ma porte à la fin du jour ?
Ouvre : c’est l’Amour.
 
Quel est ce front pâle à ma vitre noire ?
Ouvre : c’est la Gloire.
 
On frappe. Qui frappe et frappe si fort ?
Ouvre : c’est la Mort.

Le cœur solitaire (1896)

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