__ Elle, Sapiens, Être, et Homo sour… Entend par sa fenêtre encenser son… Entre petite sainte eupatride éten… et la pute sans crainte encanaille…

Poème gay vidéo-lu sur Viméo, htt… Dès le matin, lorsque l’Éthiopie s… la nuit s’endort, à l’ombre de la… C’est là que je t’ai vu, graine de… roulé comme un café dans sa toile…

Type : Vers ennéasyllabes "9 pied… Il me fit un bisou dans le cou Qu’il prétendait tomber de ma poch… Un de ces baisés distraits et doux Dont la fin selon lui était proche

Me voici désormais dans ce cadre o… Oublié de tous, hors duquel je viv… Puis moins qu’un tibia de Neander… Cent ans après plus personne me co… Squelette au chandelier de bougies…

Synopsis : hymne à ces bouquets fl… Genre : bucolique en vers décasyll… S’ils ne m’obligeaient pas à coupe… à faire des bouquets je passerais… je t’en apporterais, cascades de f…

Source audio sur: Vimeo ; poesies… Son dos était blanc et ses fesses aussi Son dos était blanc et ses fesses aussi l’étaient

Je quitte mon cercueil, me glisse dans leur couche, il n’est de pire deuil quand un homme les touchent Vous savez, nous ne sommes pas très différents au fond, vous vous brisez les cœurs...

mais tant et tant vous dis-je que la production annuelle d’aucun cul n’aurait put décemment suffire à fournir à lui-seul pareille passion, l’œuvre ainsi se devait d’être vaine dès sa fo...

A t’aimer, si ma vie, ce “ condens… m’épargnait l’infamie de voir mour… ta peau dans la pénombre à jamais… j’enlèverais des nombres mon âme é… Si mon ange à t’aimer, me prometta…

Synopsis : poème d’amour romantiqu… Je suis ange de terreur, morcelé d’amours perdus. Un baisé qui sans saveur pour des lèvres s’est vendu

C’est a Our que vivait ce garçon… a l’esprit aurifique, vif et sans… son corps miraculeux était un vrai… né d’un prince et d’un dieu dont i… La marche des petits souliers de s…

suite de Odes, par le Vampire Hybrizein où je vous explique comment l'améthyste autrefois brillante comme une étoile fut irrémédiablement tachée par le sang bleu d'un animal mythologiqu...

Sous le pont de tes yeux, j’imaginais couler les affluents de ton sommeil, bien à l’ombre d’une allée de grands frênes aux cils blonds. Tu respirais avec la douceur d’un vent d’été,...