Prestige, disais-tu, de notre lamp… Ces hôies de nos soirs. Ils tirent jusqu’à nous leurs barq… Ils connaisseni notre désir de l’é… La nuit parfaite dans le ciel cria…

Les étoiles voûtaient les murs du… Comme les fruits de l’arbre au-del… Du lieu mortel portaient dans l’éc… Comme une ombre d’étrave et comme… Etoiles et vous, craies d’un pur c…

Qu’une place soit faite à celui qu… Personnage ayant froid et privé de… Personnage tenté par le bruit d’un… Par le seuil éclairé d’une seule m… Et s’il reste recru d’angoisse et…

La branche– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a…

Toute douceur toute ironie se rass… Poui un adieu de cristal et de bru… Les coups profonds du 1er taisaien… La lumière du glaive s’était voilé… Je célèbre la voix mêlée de couleu…

Il y a que les doigts s’étaient cr… Ils tenaient lieu de mémoire. Il a lallu desceller les tristes f… Pour jeter l’arbre et la mer.

C’est l’aube. Et cette lampe a-t-elle donc fini Ainsi sa tâche d’espérance, main p… Dans le miroir embué sur la fièvre De celui qui veillait, ne sachant…

J’étais celui qui marche par souci D’une eau dernière trouble. Il faisait beau Dans l’été le plus clair. Il faisait nuit

Chemins, parmi La matière des arbres. Dieux, parmi Les touffes de ce chant inlassable… Et tout ton sang voûté sous une ma…

Ainsi jusqu’à la mort, visages réu… Gestes gauches du cœur sur le corp… Et sur lequel tu meurs, absolue vé… Ce corps abandonné à tes mains aff… L’odeur du sang sera ce bien que t…

Dedham, vu de Langham. L’été est sombre Où des nuages se rassemblent. On pourrait croire

Les lampes de la nuit passée, dans… Brûlent-elles enror, et dans quel… C’est le soir, où l’arbre s’aggrav… L’étoile a précédé le frêle feu mo… Andiam. compagne belle, astres, de…

Mais toi, mais le désert ! étends… Tes nappes ténébreuses. Insinue dans ce coeur pour qu’il n… Ton silence comme une cause làbule… Viens.