#ÉcrivainsFrançais
Deux fois silencieuse l’après-midi Par vertu de l’été désert, et d’un… Qui déborde, on ne sait si de ce v… Ou de plus haut encore dans le cie… Nous avons donc dormi : je ne sais…
J’imagine souvent, au-dessus de mo… Un visage sacrificiel, dont les ra… Sont comme un champ de terre labou… Les lèvres et les yeux sont souria… Le front est morne, un bruit de me…
Tu écoutes la chaîne heurter la pa… Quand le seau descend dans le puit… Parfois l’étoile du soir, celle qu… Parfois le feu sans rayons qui att… Que le berger et les bêtes sortent…
Tu sauras qu’il te tient dans l’ât… Tu sauras qu’il te parle, et remua… Les cendres de ton corps avec le f… Tu sauras qu’il est seul et ne s’a… Lui qui a tant détruit ; qui ne sa…
Que voulais-tu dresser sur cette t… Sinon le double feu de notre mort… J’ai eu peur, j’ai détruit dans ce… Rougeàtre et nue, où se déclare le… Puis j’ai vieilli.
Le jour se penche sur le fleuve du… Il cherche à ressaisir Les armes tôt perdues, Les joyaux de la mon enfaniine pro… Il n’ose pas savoir
Mais non, toujours D’un déploiement de l’aile de l’im… Tu t’éveilles, avec un cri, Du lieu, qui n’est qu’un rêve. Ta voix, soudain,
Puisque c’est à la tombée de la nuit que prend son vol l’oiseau de Minerve, c’est le moment de parler de vous, chemins qui vous effacez de cette terre victime. Vous avez été l’évidence,...
Je suis comme le pain que tu rompr… Comme le feu que tu feras, comme l… Qui t’accompagnera sur la terre de… Comme l’écume Qui a mûri pour toi la lumière et…
Visage séparé de ses branches prem… Beauté loute d’alarme par ciel bas… En quel àtre dresser le feu de ton… O Ménade saisie jetée la tête en bas…
Voici défait le chevalier de deuil… Comme il gardait une source, voici Que je m’éveille et c’est par la g… Et dans le bruit des eaux, songe q… Il se tait.
C’est la dernière neige de la sais… La neige de printemps, la plus hab… Avant qu’on ne l’emporte puis le b… C’est la première neige de ta vie Puisque, hier, ce n’étaient encore…
Tu me dis que tu aimes le mot ronc… Et j’ai là l’occasion de te parler… Sentant revivre en toi sans que tu… Encore, cette ardeur qui fut toute… Mais je ne puis rien te répondre :…
Cinq heures. Le sommeil est léger, en taches su… Le jour puise là-bas dans la coule… Ruisselante, du soir. Et c’est comme si l’âme se simplif…
C’est l’aube. Et cette lampe a-t-elle donc fini Ainsi sa tâche d’espérance, main p… Dans le miroir embué sur la fièvre De celui qui veillait, ne sachant…