#ÉcrivainsFrançais
Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a… Où commence invisible l’autre chem… (Car tout instant terrestre est un…
Je passais près du feu dans la sal… Aux volets clos, aux lumières étei… Et je vis qu’il brûlait encore, et… En cet instant à ce point d’équili… Entre les forces de la cendre, de…
J’imagine souvent, au-dessus de mo… Un visage sacrificiel, dont les ra… Sont comme un champ de terre labou… Les lèvres et les yeux sont souria… Le front est morne, un bruit de me…
Glisse la barque étroite aux deux… Qui respirent l’un près de l’autre… De rien, dans l’immobilité, qu’un… À l’aube le courant va plus rapide… La barre qu’on n’entend pas de nui…
Les étoiles voûtaient les murs du… Comme les fruits de l’arbre au-del… Du lieu mortel portaient dans l’éc… Comme une ombre d’étrave et comme… Etoiles et vous, craies d’un pur c…
Es-tu gaie ou triste ? Ai-jc su jamais. Sauf que rien ne pèse Au cœur sans retour. Aucun pas d’oiseau
C’est la dernière neige de la sais… La neige de printemps, la plus hab… Avant qu’on ne l’emporte puis le b… C’est la première neige de ta vie Puisque, hier, ce n’étaient encore…
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Dans ce rêve le fleuve encore : c’… Une eau serrée, violente, où des t… S’entrechoquent, dévient ; de tout… Des rivages stériles m’environnent… De grands oiseaux m’assaillent, av…
Ainsi marcherons-nous sur les ruin… immense, Le site au loin s’accomplira Comme un destin dans la vive lumiè… Le pays le plus beau longtemps che…
Le bruit des voix s’est tu, qui te… Tu es seul dans l’enclos des barqu… Marches-tu sur ce sol qui bouge, m… Un autre chant que cette eau grise… Un autre espoir que ce départ que…
L’oiseau des ruines se dégage de l… Il nidifie dans la pierre grise au… Il a Franchi toute douleur, toute mémoi… Il ne sait plus ce qu’est demain d…
Longues, longues journées. Le sang inapaise heurte le sang. Le nageur est aveugle. 11 descend par étages pourpres dan… Quand la nuque se tend
Le mot ronce, dis-tu ? Je me souviens De ces barques échouées dans le va… Que traînent les enfants les matin… Avec des cris de joie dans les fla…
Que voulais-tu dresser sur cette t… Sinon le double feu de notre mort… J’ai eu peur, j’ai détruit dans ce… Rougeàtre et nue, où se déclare le… Puis j’ai vieilli.