#ÉcrivainsFrançais
C’est la dernière neige de la sais… La neige de printemps, la plus hab… Avant qu’on ne l’emporte puis le b… C’est la première neige de ta vie Puisque, hier, ce n’étaient encore…
Il y a nombre d’années, AV., Nous avons vu le temps venir au-de… Qui regardions par la fenêtre ouve… De la chambre au-dessus de la chap…
Le miroir et le fleuve en crue, ce… S’appelaient à travers la chambre,… Se trouvent et s’unissent dans l’o… Des meubles de la chambre descellé… Et nous étions deux pays de sommei…
L’oiseau qui s’est dépris d’être Phénix Demeure seul dans l’arbre pour mou… Il s’est enveloppé de la nuit de b… II ne sent pas l’épée qui pénètre…
Nous regardions nos arbres, c’étai… De la terrasse qui nous fut chère,… Se tenait près de nous cette fois… Mais en retrait, hôte silencieux Au seuil de la maison en ruines, q…
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
Mais toi, mais le désert ! étends… Tes nappes ténébreuses. Insinue dans ce coeur pour qu’il n… Ton silence comme une cause làbule… Viens.
Plus avant que l’étoile Dans le reflet Creusent deux mains qui n’ont, pou… Que leur confiance. Cherchent deux mains, brisées,
D’une branche neigeuse à l’autre,… Qui ont passé sans qu’aucun vent n… Se font des éparpillements de la l… À des moments, comme nous avançons… Et cette poudre ne retombe qu’infi…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Le ciel trop bas pour toi se déchi… Envahissaient l’espace de ton sang… Ainsi d’autres armées sont venues,… Cassandre, Et rien n’a pu survivre à leur emb…
Mais nous aimons ces puits qui vei… Car nous nous demandons qui vient… Dans les herbes barrées de ronces,… Par ces sortes de dômes que font l… Au-dessus des buissons, là où comm…
J’imagine souvent, au-dessus de mo… Un visage sacrificiel, dont les ra… Sont comme un champ de terre labou… Les lèvres et les yeux sont souria… Le front est morne, un bruit de me…
Cinq heures. Le sommeil est léger, en taches su… Le jour puise là-bas dans la coule… Ruisselante, du soir. Et c’est comme si l’âme se simplif…
Ici l’inquiète voix consent d’aime… La pierre simple. Les dalles que le temps asservit e… L’olivier dont la force a goût de… Le pas dans son vrai lieu.