#ÉcrivainsFrançais
Toute douceur toute ironie se rass… Poui un adieu de cristal et de bru… Les coups profonds du 1er taisaien… La lumière du glaive s’était voilé… Je célèbre la voix mêlée de couleu…
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
L’oiseau qui s’est dépris d’être Phénix Demeure seul dans l’arbre pour mou… Il s’est enveloppé de la nuit de b… II ne sent pas l’épée qui pénètre…
Le miroir et le fleuve en crue, ce… S’appelaient à travers la chambre,… Se trouvent et s’unissent dans l’o… Des meubles de la chambre descellé… Et nous étions deux pays de sommei…
L’orante est seule dans la salle b… Sa robe a la couleur de l’attente… Et c’est le bleu le plus éteint qu… L’enfance est seule, et ceux qui v… Ils se penchent avec des lampes su…
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Le ciel trop bas pour toi se déchi… Envahissaient l’espace de ton sang… Ainsi d’autres armées sont venues,… Cassandre, Et rien n’a pu survivre à leur emb…
Ayant livré sa tête aux basses fla… De la mer, ayant perdu ses mains Dans son anxieuse profondeur, ayan… Aux matières de l’eau sa chevelure… Étant morte, puisque mourir est ce…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Le bruit des voix s’est tu, qui te… Tu es seul dans l’enclos des barqu… Marches-tu sur ce sol qui bouge, m… Un autre chant que cette eau grise… Un autre espoir que ce départ que…
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
Tu sauras qu’il te tient dans l’ât… Tu sauras qu’il te parle, et remua… Les cendres de ton corps avec le f… Tu sauras qu’il est seul et ne s’a… Lui qui a tant détruit ; qui ne sa…
Secouant ta chevelure ou cendre de Phénix, Quel geste tentes-tu quand tout s’… Et quand minuit dans l’être illumi… Quel signe gardes-tu sur tes lèvre…
Dragué fut le regard hors de cette… Immobilisées et séchées les mains. On a réconcilié la fièvre. On a dit au coeur D’être le cceur.
Quelle maison veux-tu dresser pour… Quelle écriture noire quand vient… J’ai reculé longtemps devant tes s… Tu m’as chassée de toute densité. Mais voici que la nuit incessante…