#ÉcrivainsFrançais
Tu vieillissais dans les plis De la grisaille divine. Qui est venu, d*une lampe. Empourprer ton horizon nu ? L’enfant sans hâte ni bruit
Et venais-tu pour la nuque ployée Là-haut, dans cette chambre, non,… D’orage, et cette main dans la tie… D’espoir, de joie, puis relever le… Vers la cime parfaite des montagne…
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
Quelle maison veux-tu dresser pour… Quelle écriture noire quand vient… J’ai reculé longtemps devant tes s… Tu m’as chassée de toute densité. Mais voici que la nuit incessante…
Tu as été sculptée à une proue, Le temps t’a corrodée comme eût fa… Il a fermé tes yeux une nuit d’ora… Il a taché de sel ton sein presque… O sainte aux mains brûlées que rec…
Es-tu vraiment morte ou joues-tu Encore à simuler la pâleur et le s… O toi passionnément au sommeil qui… Comme on ne sait que mourir ? Es-tu vraiment morte ou joues-tu
Tu écoutes la chaîne heurter la pa… Quand le seau descend dans le puit… Parfois l’étoile du soir, celle qu… Parfois le feu sans rayons qui att… Que le berger et les bêtes sortent…
Jamais douleur Ne lut plus élégante dans ces gril… Noires, que dévora le soleil. Et jamais Élégance ne lut cause pl… Un feu double, debout sur les gril…
Le ciel trop bas pour toi se déchi… Envahissaient l’espace de ton sang… Ainsi d’autres armées sont venues,… Cassandre, Et rien n’a pu survivre à leur emb…
Il y a que les doigts s’étaient cr… Ils tenaient lieu de mémoire. Il a lallu desceller les tristes f… Pour jeter l’arbre et la mer.
Regarde-les là-bas, à ce carrefour… Qui semblent hésiter puis qui repa… L’enfant court devant eux, ils ont… En de grandes brassées pour les qu… Ces fleurs d’à travers champs qui…
Rayures bleues et noires. Un labour qui dévie vers le bas du… Le lit, vaste et brisé comme le fl… Vois, c’est déjà le soir, Et le feu parle auprès de nous dan…
Prestige, disais-tu, de notre lamp… Ces hôies de nos soirs. Ils tirent jusqu’à nous leurs barq… Ils connaisseni notre désir de l’é… La nuit parfaite dans le ciel cria…
Il v avait un couloir au fond du j… Je ic’vais que j’allais dans ce co… La mort venait avec ses Heurs hautes flétries. Je rêvais que je lui prenais ce bo…
Secouant ta chevelure ou cendre de Phénix, Quel geste tentes-tu quand tout s’… Et quand minuit dans l’être illumi… Quel signe gardes-tu sur tes lèvre…