#ÉcrivainsFrançais
Phénix parlant au feu, qui est des… Et paysage clair jetant ses ombres… Je suis celui que tu attends, dit-… Je viens me perdre en ton grave pa… Il regarde le feu.
Le soir, Ges oiseaux qui se parlent, indéfi… Qui se mordent, lumière. La main qui a bougé sur le flanc d… Nous sommes immobiles depuis longt…
Aube, fille des larmes, rétablis La chambre dans sa paix de chose g… Et le cœur dans son ordre. Tant de nuit Demandait à ce feu qu’il décline e…
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Mais toi, mais le désert ! étends… Tes nappes ténébreuses. Insinue dans ce coeur pour qu’il n… Ton silence comme une cause làbule… Viens.
Je « rie. Regarde, La lumière Vivait là, près de nous ! Ici, sa provision
L’orage qui s’attarde, le lit défa… La fenêtre qui bai dans la chaleur Et le sang dans sa fièvre : je rep… La main proche à son rêve, la chev… A son anneau de barque retenue
L’arbre vieillit dans l’arbre, c’e… L’oiseau franchit le chant de l’oi… Le rouge de la robe illumine et di… Loin, au ciel, le charroi de l’ant… O fragile pays.
Secouant ta chevelure ou cendre de Phénix, Quel geste tentes-tu quand tout s’… Et quand minuit dans l’être illumi… Quel signe gardes-tu sur tes lèvre…
Le feu a pris, c’est là le destin… Il va toucher leur cœur de pierrai… Lui qui venait au port de toute ch… Aux rives de matière il se reposer… Il brûlera.
Que l’oiseau se déchire en sables,… Qu’il soit, haut dans son ciel de… Mais lui. le naufragé de la voûte… Pleurant déjà tombait clans l’argi… L’oiseau m’a appelé, je suis venu,
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Que voulais-tu dresser sur cette t… Sinon le double feu de notre mort… J’ai eu peur, j’ai détruit dans ce… Rougeàtre et nue, où se déclare le… Puis j’ai vieilli.
Jamais douleur Ne lut plus élégante dans ces gril… Noires, que dévora le soleil. Et jamais Élégance ne lut cause pl… Un feu double, debout sur les gril…
Toute douceur toute ironie se rass… Poui un adieu de cristal et de bru… Les coups profonds du 1er taisaien… La lumière du glaive s’était voilé… Je célèbre la voix mêlée de couleu…