#ÉcrivainsFrançais
Glisse la barque étroite aux deux… Qui respirent l’un près de l’autre… De rien, dans l’immobilité, qu’un… À l’aube le courant va plus rapide… La barre qu’on n’entend pas de nui…
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Deux fois silencieuse l’après-midi Par vertu de l’été désert, et d’un… Qui déborde, on ne sait si de ce v… Ou de plus haut encore dans le cie… Nous avons donc dormi : je ne sais…
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
Chemins, parmi La matière des arbres. Dieux, parmi Les touffes de ce chant inlassable… Et tout ton sang voûté sous une ma…
Rayures bleues et noires. Un labour qui dévie vers le bas du… Le lit, vaste et brisé comme le fl… Vois, c’est déjà le soir, Et le feu parle auprès de nous dan…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Que l’oiseau se déchire en sables,… Qu’il soit, haut dans son ciel de… Mais lui. le naufragé de la voûte… Pleurant déjà tombait clans l’argi… L’oiseau m’a appelé, je suis venu,
Que le faut-il, voix qui reprends,… la sève De l’olivier que glaça l’autre hiv… Le temps divin qu’il faut pour emp… Oui, rien qu’aimer ce temps désert…
Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha… Sur notre épaule, comme Pour dire que le temps ne va rien…
Es-tu gaie ou triste ? Ai-jc su jamais. Sauf que rien ne pèse Au cœur sans retour. Aucun pas d’oiseau
Le feu a pris, c’est là le destin… Il va toucher leur cœur de pierrai… Lui qui venait au port de toute ch… Aux rives de matière il se reposer… Il brûlera.
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Le bruit des voix s’est tu, qui te… Tu es seul dans l’enclos des barqu… Marches-tu sur ce sol qui bouge, m… Un autre chant que cette eau grise… Un autre espoir que ce départ que…