Quoi donc ! la vôtre aussi ! la vô… Ô mère au coeur profond, mère, vou… Laisser la porte ouverte afin qu’e… Cette pierre là-bas dans l’herbe e… La mienne disparut dans les flots…

Et toi, céleste ami qui gardes son… Qui le jour et la nuit lui fais un… De tes ailes d’azur ! Invisible trépied où s’allume sa f… Esprit de sa prière, ange de sa je…

Lorsque Abd-el-Kader dans sa geôl… Vit entrer l’homme aux yeux étroit… Que l’histoire appelle—ce drôle,— Et Troplong—Napoléon trois ; Qu’il vit venir, de sa croisée,

J’avais douze ans ; elle en avait… Elle était grande, et, moi, j’étai… Pour lui parler le soir plus à mon… Moi, j’attendais que sa mère sortî… Puis je venais m’asseoir près de s…

À Juana la grenadine, Qui toujours chante et badine, Sultan Achmet dit un jour : —Je donnerais sans retour Mon royaume pour Médine,

Amis ! c’est donc Rouen, la ville… Aux vieilles tours, débris des rac… La ville aux cent clochers carillo… Le Rouen des châteaux, des hôtels… Dont le front hérissé de flèches e…

Quand nous habitions tous ensemble Sur nos collines d’autrefois, Où l’eau court, où le buisson trem… Dans la maison qui touche aux bois… Elle avait DIX ans, et moi trent…

Au poète Mérante. Ami, viens me rejoindre. Les bois sont innocents. Il est bon de voir poindre L’aube des paysans.

« Amis et frères ! en présence de ce gouvernement infâme, négation de toute morale, obstacle à tout progrès social, en présence de ce gouvernement meurtri...

VIII. Voilà ce qu’on a vu ! l’histoire l… Et lorsqu’elle a fini pleure, roug… Quand se réveillera la grande nati… Quand viendra le moment de l’expia…

Après avoir souffert, après avoir… Tranquille, et du néant de l’homme… Tu dis je ne sais rien ¡!—Et je t… Ô lutteur, ô penseur, de cette réu… Maintenant, sans regret, sans dési…

Un philosophe grec, persan ou byza… Débarqua sur les bords du Tibre u… Maint bourgeois tout de suite étou… Des curiosités de la ville de Rom… « Vous arrivez, monsieur ? Si vou…

Je me fais paysan comme eux. Cela… Non. Le cercle où chacun se courb… L’homme tissant la paille et la fe… Où le travail fait grave et doux c… Le soir, près du foyer aux lueurs…

Batailles ! noirs duels de la forc… Guerres, par le hasard en courant… N’êtes-vous pas souvent funestes a… Que de fois vous avez souillé d’in… La Justice et la Paix, ces chaste…

Les champs n’étaient point noirs,… Non, le jour rayonnait dans un azu… Sur la terre étendu, L’air était plein d’encens et les… Quand il revit ces lieux où par ta…