"Dernière Gerbe (Posthume, 1902)"
#ÉcrivainsFrançais
La femelle ? elle est morte. Le mâle ? un chat l’emporte Et dévore ses os. Au doux nid qui frissonne Qui reviendra ? personne.
J’ai vu pendant trois jours de hai… L’eau refléter des feux et charrie… Dans une grande et noble ville. Le tisserand, par l’ombre et la fa… De son dernier métier brûlé sur le…
Le meurtre aux mille bras comme un… Les palais embrasés se changent en… Prêtres, femmes, époux, tout tombe… Autour de la cité s’appellent les… Les mères ont frémi : les vierges…
III. Cet homme fait venir, à l’heure où… Paris dormant encor. Des généraux français portant la t… Sur l’épaulette d’or ;
Ne vous contentez pas, madame, d’ê… Notre cœur vieillit mal s’il ne se… Il faut songer, penser, lire, avoi… Être, pendant DIX ans, une rose q… Cela passe...—La vie est une tris…
L’étang mystérieux, suaire aux bla… Frisonne ; au fond du bois la clai… Les arbres sont profonds et les br… Avez-vous vu Vénus à travers la f… Avez-vous vu Vénus au sommet des…
Oh ! de mon ardente fièvre Un baiser peut me guérir. Laisse ma lèvre à ta lèvre S’attacher pour y mourir. Ta bouche, c’est le ciel même.
Donc c’est fait. Dût rugir de hon… Te voilà, nain immonde, accroupi s… Cette gloire est ton trou, ta baug… Toi qui n’as jamais pris la fortun… Te voilà presque assis sur ce haut…
Ma dague d’un sang noir à mon côté… Et ma hache est pendue à l’arçon d… J’aime le vrai soldat, effroi de… Son turban évasé rend son front pl… Il baise avec respect la barbe de…
Parfois c’est un devoir de féconde… Il convient qu’un feu sombre éclai… J’ai fait Les Châtiments. J’ai d… Moi que toute blancheur et toute g… Je me suis approché de la haine à…
—Oh ! comme ils sont goulus ! dit… Il faut leur donner tout, les ceri… Les pommes du verger, les gâteaux… S’ils entendent la voix des vaches… Du lait ! vite ! et leurs cris son…
Oh ! je sais qu’ils feront des men… Pour s’évader des mains de la Vér… Qu’ils nieront, qu’ils diront : ce… Mais, n’est-il pas vrai, Dante, E… Jamais, du poignet des poètes,
Aimons toujours ! Aimons encore ! Quand l’amour s’en va, l’espoir fu… L’amour, c’est le cri de l’aurore, L’amour c’est l’hymne de la nuit. Ce que le flot dit aux rivages,
C’est toi, dénaturée ! Oui, te vo… Qui fis taire ton cœur pour écoute… Qui, pour gagner ton ciel de larve… Foulas ton âme aux pieds, mère sou… Et qui, lorsque ton fils se coucha…
Batailles ! noirs duels de la forc… Guerres, par le hasard en courant… N’êtes-vous pas souvent funestes a… Que de fois vous avez souillé d’in… La Justice et la Paix, ces chaste…