"Dernière Gerbe (Posthume, 1902)"
#ÉcrivainsFrançais
Ô femme, pensée aimante Et coeur souffrant, Vous trouvez la fleur charmante Et l’oiseau grand ; Vous enviez la pelouse
LA RAISON Moi, je me sauve. LE DROIT Adieu ! je m’en vais. L’HONNEUR
Je ne te cache pas que j’aime auss… Cela t’amuse et moi cela m’instrui… Que ce n’est pas pour rien qu’en c… Dieu met le clair-obscur des grand… Je suis le curieux qui, né pour cr…
Amis ! c’est donc Rouen, la ville… Aux vieilles tours, débris des rac… La ville aux cent clochers carillo… Le Rouen des châteaux, des hôtels… Dont le front hérissé de flèches e…
Le soir calme et profond se répand… Ma fille, asseyons-nous. Le couch… Une vague lueur sous l’arche du vi… Une forge lointaine à l’angélus ré… Le Seigneur sur la cloche et l’ho…
Pourquoi pas montés sur des ânes ? Pourquoi pas au bois de Meudon ? Les sévères sont les profanes ; Ici tout est joie et pardon. Rien n’est tel que cette ombre ver…
Le plus haut attentat que puisse f… C’est de lier la France ou de gar… C’est, quel que soit le lieu, le p… D’ôter l’âme à chacun, à tous la l… Dans la curie auguste entrer avec…
Que devant les coquins l’honnête h… Que l’histoire soit laide et plate… Boîte avec Talleyrand ou louche a… Qu’un tour d’escroc bien fait ait… Que le pape en massue ait changé s…
Nous allions au verger cueillir de… Avec ses beaux bras blancs en marb… Elle montait dans l’arbre et courb… Les feuilles frissonnaient au vent… O Virgile, ondoyait dans l’ombre…
(Suite.) Car le mot, qu’on le sache, est un… La main du songeur vibre et trembl… La plume, qui d’une aile allongeai… Frémit sur le papier quand sort ce…
Au printemps, quand les nuits sont… Quand on voit, vagues tourbillons, Voler sur les fronts les chimères Et dans les fleurs les papillons, Pendant la floraison des fèves,
Si je pouvais voir, ô patrie, Tes amandiers et tes lilas, Et fouler ton herbe fleurie, Hélas ! Si je pouvais,– mais, ô mon père,
Ces femmes, qu’on envoie aux loint… Peuple, ce sont tes soeurs, tes mè… Ô peuple, leur forfait, c’est de t… Paris sanglant, courbé, sinistre,… Voit ces horreurs et garde un sile…
Donc, vieux partis, voilà votre ho… Aux jours sereins, quand rien ne n… Dogue aboyant, dragon farouche, hy… Taupe aux jours du danger ! Pour le mettre à leur tête, en nos…
Lorsque j’étais encore un tout jeu… Et que j’allais entrer dans la lic… Sombre arène où plus d’un avant mo… L’âpre Muse aux regards mystérieu… —Tu pars ; mais quand le Cid se m…