"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
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Si je pouvais voir, ô patrie, Tes amandiers et tes lilas, Et fouler ton herbe fleurie, Hélas ! Si je pouvais,– mais, ô mon père,
Sachez qu’hier, de ma lucarne, J’ai vu, j’ai couvert de clins d’y… Une fille qui dans la Marne Lavait des torchons radieux. Près d’un vieux pont, dans les sau…
VII. Toi qui bats de ton flux fidèle La roche où j’ai ployé mon aile, Vaincu, mais non pas abattu, Gouffre où l’air joue, où l’esquif…
On a cru devoir réimprimer cette o… en juin 1826, à l’époque du désast… en la lisant, que tous les journau… tué dans son brûlot par une bombe… Depuis, cette nouvelle fatale a ét…
J’eus toujours de l’amour pour les… Lorsque j’étais enfant, j’allais s… J’y prenais dans les nids de tout… D’abord je leur faisais des cages… Où je les élevais parmi des mousse…
IL semblait grelotter, car la bis… C’était, sous un amas de rameaux s… Une pauvre statue, au dos noir, au… Un vieux faune isolé dans le vieux… Qui, de son front penché touchant…
Hélas ! tout est fini. Fange ! ¡… Au-dessus de ce gouffre où croula… Flamboyez, noms maudits ! Maupas, Morny, Magnan, Saint-Arn… Courbons nos fronts ! Gomorrhe a…
Mes vers fuiraient, doux et frêles… Vers votre jardin si beau, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l’oiseau. Il voleraient, étincelles,
Ô femme, pensée aimante Et coeur souffrant, Vous trouvez la fleur charmante Et l’oiseau grand ; Vous enviez la pelouse
La Champagne est fort laide où je… J’ai de l’air, un peu d’herbe, une… D’ailleurs, je ne suis pas ici pou… N’ayant pas mes petits près de moi… Avoir droit à la fuite, et j’y son…
La face de la bête est terrible ;… L’Ignoré, l’éternel problème éblo… Et ténébreux, que l’homme appelle… On a devant soi l’ombre informe, l… Et le joug, l’esclavage et la rébe…
Un grand houx, de forme incivile, Du haut de sa fauve beauté, Regardait mon habit de ville ; Il était fleuri, moi crotté ; J’étais crotté jusqu’à l’échine.
Le bal champêtre est sous la tente… On prend en vain des airs moqueurs… Toute une musique flottante Passe des oreilles aux coeurs. On entre, on fait cette débauche
C’est l’abbé qui fait l’église ; C’est le roi qui fait la tour ; Qui fait l’hiver ? C’est la bise. Qui fait le nid ? C’est l’amour. Les églises sont sublimes,
Dieu prit sa plus molle argile Et son plus pur kaolin, Et fit un bijou fragile, Mystérieux et câlin. Il fit le doigt de la femme,