J’ai mon sérail comme un prince d’… Riche en beautés pour un immense a… Je leur souris selon ma fantaisie… J’aime éternellement la dernière c… Et je les choisis tour à tour.

Si tu m’appartenais (faisons ce rê… Je voudrais avant toi m’éveiller l… Pour m’accouder longtemps près de… Egal et murmurant comme un ruissea… J’irais à pas discrets cueillir de…

Sonnet. Maître, qui du grand art levant le… Pour consoler la chair besoigneuse… Redis la gloire antique à cette ex… Ton corps va donc subir l’outrage…

Sonnet. Je veux de songe en songe avec toi… Le sol avare et froid de la réalit… Le rêve offre toujours une hospita… Sereine et merveilleuse à l’âme qu…

Sonnet. Un oiseau solitaire aux bizarres c… Est venu se poser sur une enfant ;… Arrachant son plumage où le prisme… De toute sa parure elle fait des d…

Sonnet. Le soldat frappé tombe en poussant… On l’emporte ; le baume assainit l… Elle se ferme un jour ; il marche,… Et, par un beau soleil, il croit s…

Ah ! Si vous saviez comme on pleu… De vivre seul et sans foyers, Quelquefois devant ma demeure Vous passeriez. Si vous saviez ce que fait naître

J’ai voulu tout aimer, et je suis… Car j’ai de mes tourments multipli… D’innombrables liens frêles et dou… Dans l’univers entier vont de mon… Tout m’attire à la fois et d’un at…

À Jules Guiffrey. J’étais, j’entrais au tombeau Où mes aïeux rêvent ensemble. Ils ont dit : « La nuit lourde tr… Est-ce l’approche d’un flambeau,

Splendeur excessive, implacable, Ô beauté, que tu me fais mal ! Ton essence incommunicable, Au lieu de m’assouvir, m’accable : On n’absorbe pas l’idéal.

Nul troupeau n’erre ni ne broute ; Le berger s’allonge à l’écart ; La poussière dort sur la route, Le charretier sur le brancard. Le forgeron dort dans la forge ;

Sonnet. S’il n’était rien de bleu que le c… De blond que les épis, de rose que… S’il n’était de beauté qu’aux inse… Le plaisir d’admirer ne serait poi…

Sonnet. Le cœur n’est pas fragile, il est… Plût au dieux que, pareil à l’amph… Il ne servît qu’un temps et fût po… Mais il ne s’use point, ô douleur…

À la barrière de l’étoile, Un saltimbanque malfaisant Dressait dans sa baraque en toile Un chien de six mois fort plaisant… Ce caniche, qui faisait rire

Sonnet. Je t’aime, en attendant mon éterne… Celle qui doit venir à ma rencontr… Dans l’immuable éden, loin de l’in… Où les prés n’ont de fleurs qu’à p…