#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Le brouillard c’est tes yeux mais… alors ? Je voudrais bien dormir mais on ti… Une rumeur monte des faubourgs com… Ta poudre de riz séduira les fosso…
Porte Saint-Martin, Porte Saint-Denis, Voir briller la lune à travers la…
L’araignée à moustaches n’est pas Napoléon III Qui s’ennuie quand il a froid.
A manger son propre sang En tartine sur du pain A boire l’eau de l’étang Où les morts prennent leur bain A prononcer des paroles
Comme un aveugle s’en allant vers… Dans les bruits de la ville assail… Appuie obstinément aux vitres des… Ses yeux qui ne voient pas vers l’… Comme ce rail brillant dans l’ombr…
Il y a dans ce carrefour une atmos… L’orange et le vert fleurissent le… Les inscriptions d’émail se lisent… La chanson du passant est la même… Le réverbère le même
Ma sirène est bleue comme les vein… Pour l’instant elle dort sur la na… Et sur l’océan que je crée pour el… Elle peut visiter les grottes magi… Là des oiseaux très bêtes
Comme l’espace entre eus : devenai… Le signe des mouchoirs disparut po… Eus c’était une amante aux carillo… Pâques Qui revenait de
Ta vie est sacrée et ta personne frappe d’épouvante les meurtriers. Le tabou est sur toi, le tabou est sur nous, car nous avons ravivé les anciennes coutumes et les usages préhistorique...
Le paysage était fourrure, Pelage de rieurs et moissons, Brume vibrante, échos, frissons : Le voici prêt à la morsure, Il s’incarne et devient ce fauve
De bon cœur, la bonne aventure, Chante colombe, au fond du bois ; L’étoile baigne aux sources pures, Trois par trois sont partis les mo… De bon cœur, la bonne aventure.
Pour mourir sans regret il faut êt… Pour mourir sans regret des désirs… Pour mourir sans chagrin pour mour… Faut-il détruire aussi les mains l… Celles-là qui sont nées choisies p…
Les putains de Marseille ont des sœurs océanes Dont les baisers malsains moisiront votre chair. Dans leur taverne basse un orchestre tzigane Fait valser les péris au bruit lourd de la m...
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués, en étrd-gnant ton om...
Notre paire quiète, ô yeux ! que votre « non » soit sang (t’y f… que votre araignée rie, que votre vol honteux soit fête (a… sur la terre (commotion).