#ÉcrivainsFrançais
Depuis que j’suis dans la marine A bord du paqu’bot Pompadour J’en ai marre de la marine Je marronne et pleur’ tous les jou…
En descendant des collines au prin… A l’heure où la rosée brille dans… Au bruit lointain du fer battu dan… Au miroitement du jour dans l’eau… En descendant des collines au prin…
Si Phèdre, après la mort, te retrouve… Hippolyte, Tous deux ayant cessé de vivre au… Quels baisers, quelle étreinte hor…
La rose qui fleurit aux berges de… Seine Fleurit après minuit sur les pelou… Sur les pelouses naines où danse l… Près
Une ourse fit son entrée dans la v… Elle marchait pesamment Et des gouttes d’eau brillaient da… Comme des diamants. Elle marcha méconnue,
Pour mourir sans regret il faut êt… Pour mourir sans regret des désirs… Pour mourir sans chagrin pour mour… Faut-il détruire aussi les mains l… Celles-là qui sont nées choisies p…
Visage de bois visage de bois Je pars en rêvant ô mon amour ô mon roi Viennent les Printemps
t’apporte une petite algue qui se mêlait à l’écume Mais tes cheveux sont mieux nattés que les nuages avec le vent avec les rougeurs célestes et tels avec des frémissements de vie et de ...
Par le travers de la gueule Ramassée dans la boue et la gadoue Crachée, vomie, rejetée— Je suis le vers témoin du souffle… Déchet, rebut, ordures
Et des bords de l’océan à ceux de… Méditerranée déferla une marée d’incendies, de fumées e… Feu et sang Ils se levèrent tous dans les vill…
Le poisson sans-souci Vous dit bonjour vous dit bonsoir Ah ! qu’il est doux qu’il est poli Le poisson sans-souci. Il ne craint pas le mois d’avril
Dans la nuit il y a naturellement… Les forêts s’y heurtent confusémen… Il y a toi. Dans la nuit il y a le pas du prom… Il y a toi.
Le corridor s’allonge à perte d’âm… Félicité reine des rêves Une bouteille qui s’ouvre libère u… poursuivi par la Justine divine
Dans quelle corolle as-tu caché te… Amour muselière et menottes tu m’e… Crête des montagnes où se coupe le… Il tombe fiasque de chaque côté en éclaboussant mes yeux d’orange
Le meurtre du douanier fut splendide avec le cerne bleu des yeux et l’accent rauque des canards près de la mare. Le meurtre fut splendide mais déjà le soleil se transformait en robe de ...