#ÉcrivainsFrançais
Pour mourir sans regret il faut êt… Pour mourir sans regret des désirs… Pour mourir sans chagrin pour mour… Faut-il détruire aussi les mains l… Celles-là qui sont nées choisies p…
Ayant dit ayant fait Ce qui me plaît Je vais à droite je vais à gauche Et j’aime la fleur de souci Je vais à droite je vais à gauche
Permettez-moi dit le jeune Espagnol de vous oflrir cette ciga… Il me tendit sa cravate. Deux détectives s’approchèrent mirent les menottes…
Comme une main à l’instant de la m… Il n’est plus temps, il n’est plus… Mais la feuille qui tombe et la ro… Sauf l’amour, Et je veux m’en persuader.
Le verre brille sur le zinc de ce… Maints sanglots montent à la gorge… S’arrêtent et finissent en un écla… Le verre brille sur le zinc de ce… Parce qu’une goutte encore tremble…
Si vous alliez à la chasse en auto… Vous rencontreriez sûrement dans l… Un cerf un lièvre et un faisan Cela vous entraînerait loin sûreme… Si vous alliez à la chasse en auto…
L’arbre qui boit du vin aime qu’on… L’arbre qui boit du vin est un fam… L’arbre qui boit du vin ce matin nous a dit Pas besoin d’être devin
La créole qui danse Encore à minuit dansera jusqu’à l’aurore jusqu’à midi et jusqu’à l’autre nu… Les seins bandés
Et voici, Père Hugo, ton nom sur les murailles ! Tu peux te retourner au fond du Panthéon
Couchons-nous sur le pavé, Par le soleil chauffé, par le sole… Dans la bonne odeur de poussière De la journée achevée, Avant la nuit levée,
A force d’aimer, je me suis perdu… Et quel océan ! Une tempête de rires et de larmes. Si vous montez sur un navire ayez… Mais que dis-je ?
La rose à voix de soprano joue la nuit du piano. Cela charme les monts et la plaine le Rhin, la
Quand le train partira n’agite pas… Ni ton mouchoir, ni ton ombrelle, Mais emplis un verre de vin Et lance vers le train dont chante… La longue flamme du vin,
Dans un temple en stuc de pomme le… . Rrose Sélavy demande si les Fleurs du
A cinq heures du matin dans une ru… Un avertisseur d’incendie a sa gla… Sur le pavé il y a une flaque de s… se dissout dans l’air. Ohé !