#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Femmes de grand air Femmes de plein vent Est-ce que la nuit est douce pour… Femmes de plein vent Rôdeuses rencontrées à l’aube
Sur l’augurai berceau propice et p… Splendit l’astre advenu au ciel pu… Je vois dans le futur ayant fées p… Le fils de votre arcane étonner le…
Le carré a quatre côtés Mais il est quatre fois pointu Comme le Monde. On dit pourtant que la terre est r…
Il avait le cœur sur ! a main Et la cervelle dans la lune C’était un bon copain Il avait l’estomac dans les talons Et les yeux dans nos yeux
Pierre à pierre et pied à pied Et cœur à cœur et tête à tête Les beaux jours sont passés Fil à fil et feuille à feuille Et un à un et seul à seul
Il s’envola au fond de la rivière. Les pierres en bois d’ébèce les fi… Tout rien. Je la hais d’amour comme tout un c… Le mort respirait de grandes bouff…
La rose de Marbre immense et blanche était seule sur la place déserte où les ombres se prolongeaient à l’infini. Et la rose de marbre seule sous le soleil et les étoiles était reine de ...
Tu n’es ni beau ni riche, Ton amour est un faix, Par le mal qu’il me fait Ton amour m’est fétiche. Laisse se rassir la miche
Plus blanche que la neige et les c… La flore de la nuit épanouit ses p… Et grandit remplissant les espaces… Où tel cheval d’azur hennit rue et… Vers des prairies semées de récent…
Le chat qui ne ressemble à rien Aujourd’hui ne va pas très bien. Il va visiter le Docteur qui lui ausculte le cœur. Votre cœur ne va pas bien
Jamais d’autre que toi en dépit des étoiles et des solitudes En dépit des mutilations d’arbre à la tombée de la nuit Jamais d’autre que toi ne poursuivra son chemin qui est le mien Jama...
Vous avez faim, vous avez soif, Rosemonde, c’est le vent d’est Qui vous décoiffe. Que ce vent emporte la peste Au fond du ciel et qu’elle y reste…
Mon mal meurt mais mes mains mimen… Nœuds, nerfs non anneaux. Nul nord Même amour mol ? marnes, mord Nus nénés nonne ni
En descendant des collines au prin… A l’heure où la rosée brille dans… Au bruit lointain du fer battu dan… Au miroitement du jour dans l’eau… En descendant des collines au prin…
Je n’aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu’André Platard l’a quittée. Je n’aime plus la rue