Folfanfifre à l’école ne savait ri… Son maître étant un sot Folfanfifre fut un sage De ne rien apprendre de faux Folfanfifre eut ce courage.

Il s’envola au fond de la rivière. Les pierres en bois d’ébèce les fi… Tout rien. Je la hais d’amour comme tout un c… Le mort respirait de grandes bouff…

Un incroyable désir s’empare des f… Une pierre précieuse s’endort dans… Et voilà que sur le chemin s’agite… Plus jamais les pas des émues par… Passez cascades

Dans la nuit il y a naturellement… Les forêts s’y heurtent confusémen… Il y a toi. Dans la nuit il y a le pas du prom… Il y a toi.

Tu dis vrai quand tu dis qu’ils re… Au pays où l’on cache avec un élas… Que dénotent leurs crocs, que vald… Us se piquouseront, en gruingue, à… Mais tu te gourres si tu crois que…

Qui donc pourrait me voir Moi la flamme étrangère L’anémone du soir Fleurit sous me3 fougères O fougères mes mains

Revenez-y les vieilles allez-y les jeunes Les arbres grandissent jusqu’à la… Les arbres vieillissent comme les… Et meurent comme les vieilles

Dans bien longtemps je suis passé par le château des feuilles Et loin les coquillages s’accrochaient désespérément aux rochers de la mer Ton souvenir ou plutôt ta tendre présence était ...

Rue Aubry-le-Boucher on peut te foutr… Bouziller tes tapins, tes tôles et… Où se faisaient trancher des sœurs… Portant bavette en deuil sous des…

En descendant des collines au prin… A l’heure où la rosée brille dans… Au bruit lointain du fer battu dan… Au miroitement du jour dans l’eau… En descendant des collines au prin…

Maudit soit le père de l’épouse du forgeron qui forgea le fer de l… avec laquelle le bûcheron abattit… dans lequel on sculpta le lit

Devenir me Voici venir le temps d… Par la fenêtre fermée les oiseaux… comme les poissons d’aquarium. A la devanture d’une boutique une jolie femme sourit.

La reine de l’azur et le fou du vi… A chaque fenêtre s’accoudent les c… Et les chevelures disent : « A bientôt ! » A bientôt ! » disent les méduses

Passez votre chemin ! Le soir lève son bâton blanc devan… Cornes des bœufs les soirs d’abond… l’épouvante sur le boulevard Passez votre chemin !