À travers le bois fauve et radieux… Récitant des vers sans qu’on les e… Vont, couverts de pourpre et d’orf… Les Comédiens, rois et demi-dieux… Hérode brandit son glaive odieux ;
Un Homme n’ayant plus ni crédit,… Et logeant le Diable en sa bourse… C’est-à-dire, n’y logeant rien, S’imagina qu’il ferait bien De se pendre, et finir lui-même sa…
C’est un autre orage sans toi Mon esprit se décline en nuances d… gris comme le ciel, comme les toit… vert comme les plantes en ont le f… bleu comme mes yeux et comme certa…
Au milieu de la mer qui sépare deu… Un rocher presque nu s’élève sur l… Et son sinistre aspect remplit l’â… C’est là que tant de gloire est pa… Et l’on y voit un nom, une croix,…
suite de Odes, par le Vampire Hybrizein où je vous explique comment l'améthyste autrefois brillante comme une étoile fut irrémédiablement tachée par le sang bleu d'un animal mythologiqu...
On a dit qu’une vierge à la parure… Sur l’épaule des flots vint de Cy… Et que ses pieds polis, en caressa… À chacun de ses pas laissèrent un… L’oiseau vermeil, qui chante en pr…
Ma vie, je la vis maintenant Parce que hier ne sera qu’un souve… Les larmes d’hier ne seront que tr… Les joies d’aujourd’hui ne seront… Je m’accroche à l’idée que cette f…
Charmante lyre, Où l’amitié grava mon nom, Dieux ! Quel transport divin m’in… Oui, tu m’apportes d’Apollon L’heureux délire.
Ode XXVII. Le boyteus mari de Vénus Aveques ses Cyclopes nus R’alumoir un jour les flammeches De sa forge, à fin d’echaufer
Le temps, si précieux soit-il, file à une allure variable qui le rend insaisissable. Certains jours semblent infiniment lents, terriblement navrants, tandis que d’autre paraissent filer...
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Ô champs pleins de silence, Où mon heureuse enfance Avait des jours encor Tout filés d’or ! Ô ma vieille Font-Georges,
Je veux d’une plainte suave Exhaler ma peine au soleil Et que mon chant soit pur et grave Comme une campagne au réveil : Une campagne solitaire
Épigramme. Quand je te caresse, Angélique, Tu dis que ma barbe te pique ; Aimes-tu tant le poil follet ? Baise le trou par où je pète,
Tu t’es approchée près de moi Et j’ai marché dans tes doux pas, M’entraînant vers ces lieues, là-b… Où je te dévoilais à toi, Une nouvelle sensation
À cette côte anglaise J’ai donc fait mes adieux, Et sa blanche falaise S’efface au bord des cieux ! Que la mer me sourie !
Un homme de moyen âge, Et tirant sur le grison, Jugea qu’il était saison De songer au mariage. Il avait du comptant,
Sur un air grec. Le matin n’est plus ! le soir pas… Pourtant de nos yeux l’éclair a pâ… Mais le soir vermeil ressemble à l… Et la nuit plus tard amène l’oubli…
Savez-vous bien, Madame, à quel r… En acceptant des vers d’indiscrets… C’est une occasion de parler, et,… Je dis ce que je pense et permets… Un poète ose tout.—Si j’allais (j…
D’un doute périlleux ton cœur est… Je le vois, et, si Dieu ne te prê… Je crains qu’à l’ennemi ta faibles… Des deux sentiers ouverts lequel c… Ton corps formé pour plaire est pa…