Entre les plis de votre robe close On entrevoit le contour d’un sein… Des bras hardis, un beau corps pot… Suave, et dans la neige modelé, Mais dont, hélas ! un avare dispos…
Ô Toi qui d’un œil de clémence Vois les égarements des fragiles h… Toi dont l’être un en trois et le… A créé ce grand tout soutenu par t… Eteins ta foudre dans les larmes
Emma d’un clair ruisseau regardait… Et n’y voyait pas ses attraits ; Près d’elle il murmurait sous un o… Sans qu’elle entendît son murmure. Une douce pâleur à ses touchants a…
À L’ÉTOILE DE LA LÉGION… Imitée de L. Byron. Toi qui répandis tant de gloire Sur les vivants et sur les morts, Phare éclatant de la victoire,
Vous ennemis mortels de la mélanco… Vénérables Buveurs aux fronts enl… Embrassez les Verriers de la nobl… Car ils font des Pinceaux à vous… Par ces braves Pinceaux nous ente…
Chacun de vos attraits vaut une sé… Votre bouche semble être une rouge… Où quiconque vous voit, voudrait p… Avec un mot d’amour un doux et cha… Vos yeux brillants et purs, feu sa…
Ô jeune Florentine à la prunelle n… Beauté dont je voudrais éterniser… Vous sur qui notre maître eût jeté… Que devant Galatée ou sur Amaryll… Vous qui d’un blond sourire éclair…
Forêt profonde... Il fait si sombre... J’entends quelqu’un avec moi qui m… et qui fait des gestes, Quelle est cette ombre ?
Dieu, dans sa sagesse profonde, A-t-il tout créé par sa voix, Ou si le hasard seul au monde Impose aveuglement ses lois ? Pour te délivrer de ce doute,
Douce chanson, claire chanson, Tu sors de mon âme elle-même, Comme la rose hors du buisson Penche sa pourpre qu’elle sème. Tu nais grave comme le jour
Il s’est barré Plus rien n’est sorti De ses lèvres amères Il s’est rayé de la carte Et partout où je suis passée
Eh bien ! puisque l’impatience De revoir vos climats chéris, Ainsi qu’à l’amitié vous ravit à l… Partez : les nobles Potockis, Dans l’aimable François, digne sa…
Une Hirondelle en ses voyages Avait beaucoup appris. Quiconque a beaucoup vu Peut avoir beaucoup retenu. Celle-ci prévoyait jusqu’aux moind…
Dans un sommeil sans rêve On fuit la peur Ouvrant ses bras et ses yeux vers… Dans la douleur Qui nous propulse en chair et en o…
Chaque vision de vous, physique, i… Comme une renaissance, reflète la… Et si en ce grand jour, vous sembl… Votre regard ardent se pâme à chuc… Brillante vous semblez, rayonnante…
Du haut de la côte pelée Je l’aperçus courant, marchant, Sinueuse, dans la vallée, En plein soleil ou se cachant Derrière un arbre, son ombrelle,
« Du vin ! Nous sommes trois ; du… Hôtesse ! nous voulons chanter jus… As-tu toujours ta vigne et ta fill… L’amour, le vin, voilà les seuls b… —Entrez, seigneurs, entrez.... le…
Les habits en désordre et la main… Tu pleures feu l’Amour, dolente,… Je ne suis pas surpris si sa tombe… Quoiqu’il parût enfant, l’Amour é… Te voici dans ce bois, où ton regr…
Plus mille fois que nul or terrien… J’aime ce front où mon tyran se jo… Et le vermeil de cette belle joue, Qui fait honteux le pourpre Tyrie… Toutes beautés à mes yeux ne sont…
Une amoureuse flamme Consume mes beaux jours ; Ah ! la paix de mon âme A donc fui pour toujours ! Son départ, son absence
Sur la colline, Quand la splendeur Du ciel en fleur Au soir décline, L’air illumine
Par l’esprit ou par la fortune J’aime à voir tout homme grandir ; Nulle gloire ne m’importune, Je ne suis pas las d’applaudir ; Je trouve même légitime
Dénaturée Caricaturale Fantasmagorique Grimace sans ombre Grisâtre et sombre
L’enchantement lunaire endormant l… Et le jour s’éloignant sur la mer… Comme une barque d’or nombreuse d’… J’ai rassemblé, d’un mot hâtif, me… Mes brebis et mes boucs devenus ta…
Chanson IV. Plus étroit que la vigne à l’Orme… De bras souplement forts, Du lien de tes mains, maîtresse, j… Enlace-moi le corps.
Douce Victoire, aimable enfant, Dont l’air heureux, l’âge innocent… La joie et l’abandon, la naïve ten… Et la candeur et la finesse, Semblent rendre à mes yeux, à mon…
Quelle tranquille bienveillance Près de ces eaux remuées Où le soleil se balance En traversant la feuillée. Seul le rêve voit nos danses
en plein silence une conversation silencieuse ses appels sans son au fond de moi cachés vient de l’inconnu
Quand le premier sculpteur eut ach… Et caché dans son sein les chants… Ouvrier sans défaut, lorsqu’il eut… Parmi ses ornements les figures de… Et qu’il eut couronné l’instrument…
La Mouche et la Fourmi contestaie… “ O Jupiter ! dit la première, Faut-il que l’amour propre aveugle… D’une si terrible manière, Qu’un vil et rampant animal