Le spectre que parfois je rencontr… —Pourquoi ris-tu ? Lui dis-je.—Il… Regarde. Il me montrait dans l’ombre un cim… J’y vis une humble croix près d’un…
La querelle irritée, amère, à l’œi… Vipère dont la haine empoisonne la… Siffle et trouble le toit d’une pa… Les mots heurtent les mots. L’enf… La femme et le mari laissent l’enf…
C’est un article sur le journal S… C’est l histoire du scarabée d arg… Le type venait d enlever le paleto… Le gars était assis devant le feu… Où se promené l animal égyptien .
Volez, nobles coursiers, franchiss… Pour le prix disputé, luttez avec… Sous un soleil de feu, le sol est… Pour vous voir aujourd’hui, tout e… Ainsi qu’un flot d’encens, la légè…
Des singes dans un bois jouaient à… Certaine guenon moricaude, Assise gravement, tenait sur ses g… La tête de celui qui, courbant son… Sur sa main recevait les coups.
Blotti comme un oiseau frileux au… Les yeux sur ton profil, je songe… Immobile sur les coussins brodés,… L’enchantement ancien, la radieuse… Et les rêves au ciel de tes yeux v…
Les bois ont dépouillé leur costum… A dû livrer au vent sa riche brode… Et les merles moqueurs, qui siffla… Ne savent où cacher leur vol vif e… Voici venir l’hiver, ceint avec ma…
C est le poète Alain . Tu vois .. il est devenu le survi… Tu sais .. il as échappé à la mor… C est le gars .. qui court sur la… Avec les deux amis inséparables .…
La Cigale, ayant chanté Tout l’été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau
Voilà, des photos et des mots . Une envie d écrit cette poésie . Aujourd’hui, j ai décidé de trouve… Des choses .. le gay passions . Alors, j espère vous retrouvez .
A l’aube d’une rencontre A l’aube d’une nuit de songes Ou à l’aube du songe d’une nuit d’… Un amour qui s’écrirait à l’encre… Et se conjuguerait au présent de l…
Or, tu n’es pas vaincu, sinon par… Oppose au siècle un front de coura… Bande ton coeur moins faible au fo… Ne cherche, en fait d’abri, que l’… Ceins, sinon l’innocence, hélas !…
Dans le parc de Thalcy, j’ai dres… Sur qui le temps faucheur ni l’enn… Des filles de la nuit jamais n’aur… Et non plus que mes vers n’éteindr… J’ai engravé dessus deux chiffres…
Bien qu’à grand tort il te plaît d… Dedans mon cœur, siège à ta seigne… Non d’une amour, ainçois (1) d’une… Le feu cruel, pour mes os consumer… L’âpre tourment ne m’est point si…
Ce n’est pas de mon gré, Carle, q… Erre en la mer thyrenne : un vent… Le chasse malgré moi par ces flots… Ne voyant plus le pôle, qui sa fav… Je ne vois que rochers, et si rien…
Quelquefois, après des ébats polis… J’agitai si bien, sur la couche en… Le crincrin de la blague et le sis… Que les bras t’en tombaient du lit… Après ça, tu marchais, tu marchais…
C’est à Rouen, votre Rouen, Mada… Qu’on brûla...(je fais un impair !… Mais Marseille ! c’est une femme Qui se lève, au bord de la mer ! Le Havre a votre amour, et d’une…
Pour un ami Pour un ami envers qui j’ai tant d… Je voudrais l’aimer à en perdre la… L’aimer en lui consacrant toujours… L’aimer au point de mourir, de ver…
Pancrace entre au lit de Lucinde… Et l’heureux hymen est bâclé Quand un maire a mis le coq d’Ind… Avec la fauvette sous clé. Un docteur tout noir d’encre passe
N’est elle de tous biens garnie ? Celle que j’aime loyalement ; Il m’est advis, par mon serment, Que sa pareille n’a en vie. Qu’en dites-vous ? je vous en prie…
Ni pardon ni répit, dit le monde, Plus de place au sénat du loisir ! On rend grâce et justice au désir Qui te prend d’une paix si profond… Et l’on eût fait trêve avec plaisi…
Amour déchu Ha ! Amour de ma jeune vie ! Toi dont j’ai tant sourit, Je te voyais tous les jours, Pleine de joie et de dynamisme com…
Un nouveau jour se lève, sur la vi… Les paupières presque ouverte, j’a… On le tire de son lit, où l’invers… Bougon je ne peux lire, la beauté… Ces couleurs me supplient, d’appré…
Le soleil de nos jours pâlit dès s… Sur nos fronts languissants à pein… Quelques rayons tremblants qui com… L’ombre croit, le jour meurt, tout… Qu’un autre à cet aspect frissonne…
Andromède se tait au fond des bois… Les guêpes, les abeilles et les mo… En culbutant, dans l’air, font des… Et le ciel est ouvert comme une bo… Mais du ciel béant ne sort aucun c…
Dixain. Muses, souvenez-vous du guerrier,—… Qui ne fut général ni polytechnici… Mais qui charma DIX ans les mâne… Cet invalide était la gaîté de son…
On est Tibère, on est Judas, on e… Et l’on a Lambessa, n’ayant plus… On forge pour le peuple une chaîne… On exile, on proscrit le penseur l… Tout succombe. On comprime élans,…
Les nuages traînant leurs blocs Autour du soleil qui les troue, On voit reflamboyer la roue Du moulin bâti dans les rocs. Et la chose monstre qui tourne
Bercés d’un fol espoir, nous aimio… Le cœur ému d’amour aux accords de… Pour nous seront ses chants, Au pays bien-aimé seront les fleur… Mais Christ le conviait aux hymne…
Mon eau n’écoute pas mon eau chante comme un secret Mon eau ne chante pas mon eau exulte comme un secret Mon eau travaille
C’est les éclats de la poésie . C’est le chapitre du lundi . Quelques mots .. le verre vient d… Tu vois .. il s est brisé en mill… C’est les morceaux de la poésie .
Se glisser dans ce néant fécond, Chevalier méritant et servant, Où le silence est le compagnon, Habile à endormir des tourments, Qui impatientent la chair de leur…
O vraie et lamentable image de la… La joie entre par où la douleur es… Le bonheur prend le lit d’où fuit… À ce qui naît le jour Dieu fait pl… La coupe de la vie a toujours même…
Quelle soie aux baumes de temps Où la Chimère s’exténue Vaut la torse et native nue Que, hors de ton miroir, tu tends… Les trous de drapeaux méditants
Sonnet. Rondement, Mathurin Mène dans sa carriole La Dame qui s’affole De filer d’un tel train.
Contrerime XXXIII. Quel pas sur le pavé boueux Sonne à travers la brume ? Deux boutiquiers, crachant le rhum… S’en retournent chez eux.
Vous voulez à tout prix la mélanco… Votre rire fait peur, il donne le… Celui du désespoir, celui de la fo… N’ont pas un plus étrange son. Quel sera votre sort ? L’horizon…
Vous m’avez demandé quelques vers… Ce mien livre, d’émoi cruel et de… Déjà loin dans mon Œuvre étrange q… Et dévale, flot plus amer de jour… Qu’en dire, sinon : « Poor Yorick…
(Imitée d’Uhland) Oh ! quel doux chant m’éveille ? —Près de ton lit je veille, Ma fille ! et n’entends rien... Rendors-toi, c’est chimère !
C est deux cent pages de Poésies… C est jamais sans ma plume bleue . Des mots calculés sur le journal… La fenêtre .. où vient de passer… Un peu de chaleur dans la pièce .
Délices éphémères Comme un poison faisant des ravage… Comme une force qui anéantit tous… Je livre un combat contre de terri… Qui me privent de bon sens, me fai…
Esprit de l’air, je te salue ! Je te salue, oiseau lointain, Qui montes, comme une âme élue Dans la lumière du matin. Fuyant la plaine où ton nid reste,
Une enfant de seize ans, belle, et… Ouvrant ses yeux, ouvrait son cœur… S’est inclinée un jour comme une f… Agonisante deux fois blanche Par l’innocence et la langueur.
Contrerime I. Avril, dont l’odeur nous augure Le renaissant plaisir, Tu découvres de mon désir La secrète figure.
Sonnet XCIV. Heureux celui qui peut longtemps s… Sans mort, ou sans blessure, ou sa… Heureux qui longuement vit hors de… Sans dépendre son bien ou sans ven…
À Georges Lorin. Un parfum chante en moi comme un a… Tout mon corps se repaît de sa moi… Et je crois que j’aspire une halei… Qu’il soit proche ou lointain, qu’…
Sonnet. Je passerai l’été dans l’herbe, su… La nuque dans les mains, les paupi… Sans mêler un soupir à l’haleine d… Ni troubler le sommeil léger des c…
Pourquoy m’as tu vendu, Jeunesse, A grant marchié, comme pour rien, Es mains de ma dame Viellesse Qui ne me fait gueres de bien ? A elle peu tenu me tien,
(Pour Jeanne seule.) II. Jeanne chante ; elle se penche Et s’envole ; elle me plaît ; Et, comme de branche en branche,
L’éternelle joie de vivre, sourire… Se divertir de pluie, que rire à l… Temps de mélancolie, un siècle de… Minute de mélodie, courbe en oscil… Notre meilleur souvenir, en mille…
C’est une grande allée à deux rang… Les enfants, en plein jour, n’osen… Tant elle est haute, large et somb… Il y fait froid l’été presque auta… On ne sait quel sommeil en appesan…
La musique réjouit le cœur des humains, dans un climat d’euphorie, c’est une détente salutaire pour les malades dépressifs. Un être humain entendant une berceuse de son enfance, cela lu...
C est le chapitre de Dimorphos . C est la rubrique sur le journal… L homme avait organisé la musique… Pour adoucir les défaites et les c… Le gros est revenu pour résoudre l…
Vous voulez à tout prix fuir la mé… Votre rire fait peur, il donne le… Celui du désespoir, celui de la fo… N’ont pas un plus étrange son. Quel sera votre sort ? L’horizon…
Toutes les fois, miroir, que tu lu… À se mettre du noir aux yeux ou su… La poudre parfumée, ou bien dans u… Charmante, son carmin aux lèvres,… « Je dormais reflétant les vers, q…
Nourrissez votre cœur du feu des c… Filles du Fils de l’homme, aux ye… Aimez celle qu’un peuple appelle p… Avant Notre-Seigneur, savoir vivr… Quelque chose au dehors, mais au f…
Le titan dormait dans la douceur d… Loin du froid glacial sibérien . Tu vois .. il était affalé sur le… Les abeilles des îles venaient de… Et s envolées vers d autres fleurs…
Et vous, l’ancienne esclave à la c… Vous le bétail des temps antiques… Vous, femmes, dont Jésus fit la V… D’après Celle qui porte en ses ye… Le reflet le plus grand des rayons…
Ô tragiques instants du départ, he… Où toute véritable amante se sent… Et, mesurant sa force à son amour… Nous berce longuement au creux de… Et détourne ses yeux pleins de lar…
Contrerime XVI. Trottoir de l’Élysé'-Palace Dans la nuit en velours Où nos coeurs nous semblaient si l… Et notre chair si lasse ;